Voici l'un des véritables ancêtres de cette terre africaine, l'hippopotame au sein de l'Égypte ancienne !
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ...
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Pinceau en fibre de palme. 1 390 à 1 352 B.C.E, Thèbes. 18e dynastie, Amenhotep III.
Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »
L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »
Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Je connais les secrets des hiéroglyphes ...
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Mitri a vécu pendant la cinquième dynastie et a servi son pharaon.
Peut-être Unas, vers 2400 B.C.E. Il a construit une grande tombe à l'angle sud-est de l'enceinte de la pyramide échelonnée, près de la chaussée du roi Unas.
Le sculpteur a entouré les yeux de cuivre et a utilisé de beaux cristaux de roche pour donner à Mitri un regard calme de gris profond. Les cristaux gris sont souvent bleus sur les photos. C'est un effet frappant §
Tableau d'écriture d'un apprenti scribe.
Première période intermédiaire Dynastie 11 ou avant, environ 2 030 B.C.E. Il ressort clairement des hiéroglyphes maladroitement formés et de leur espacement inégal que c'est l'œuvre d'un apprenti scribe qui pratiquait son écriture.
Le tableau d'écriture pourrait être utilisé encore et encore en grattant ou en essuyant l'encre et en ajoutant une nouvelle couche de blanc. Un autre tableau d'écriture de la collection montre les corrections faites à l'encre. Le Met New York.
Marie-Thé Perardelle.
Vallée des Nobles, TT69, tohypogée de Menna, "Scribe des champs du Seigneur du Double-Pays"
Les scribes contrôlent tout !
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
L’ensemble représente le hiéroglyphe du mot « scribe »
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Hiéroglyphe du groupe Y symbolisant la palette du scribe (et par extension, celui-ci).
Montrer du respect ... t(w)r,
'tour',
"montrer du respect" ...
En Égypte ancienne, il était indispensable de montrer du respect envers le roi et les dieux d'abord, mais aussi envers ses supérieurs, ses parents ... Les Égyptiens adoraient hiérarchiser !
La première phrase entière découverte dans l’un des plus anciens alphabets connus parle de poux ! «Que cette défense éradique les poux des cheveux et de la barbe»: l’inscription en cananéen, qui figure sur un peigne découvert en Israël en 2016, remonte à plus de 3700 ans
Cela pourrait être le cas quant à l'apparence de cet animal pouvant passée comme bien débonnaire.
De plus ...
Et à juste tirtre voici une belle synthèse de Melody Simon :
Sic : "Il est intéressant de noter que lorsque c'est une femelle , l'image de l'hippopotame est protectrice et positive, et, lorsqu'il est mâle elle devient symbole de destruction et négative
Model in the Ashmolean Museum (Oxford, UK).
Une poterie rouge et particulièrement grossière découverte par Pétrie.
Comme je le mentionnais au début de cette thématique, les apparences sont parfois trompeuses.
De même via :
Les nombreuses émissions animalières notamment,
Les safaris photographiques en cette terre africaine, comme il m'est arrivé de réaliser avec un plaisir indéfinissable.
Ou, simplement lors d'une visite au sein d'un zoo.
Tout cela ne peut-il pas contribuer, et ce à chacun d'entre nous, à bien connaître cet animal imposant par sa stature, son agressivité, sa vie aquatique, ... ?
Nonobstant ...
Auriez-vous vraiment imaginé que cet animal, cet hypostase du netjer Seth, pouvait représenter l'un des véritables ancêtres du Nil ?
En remontant très loin dans le passé, il nous serait bien impossible de conclure que notre hippopotame avait en commun certains ancêtres du cheval.
L’hippopotame appartient bien au groupe des artiodactyles.
De véritables mammifères ongulés ...
Mais connaissez-vous son proche cousin ? Souvenez-vous pour cela des aptitudes aquatiques et même sous-marines particulièrement indiscutables quant à notre hippopotame.
Ainsi :
Les hippopotames,
Et les baleines ont cela de commun, un ancêtre. De bien nombreuses études issues d'analyses ADN semblent l'avoir démontré.Ainsi, nous sommes bien loin de la période pharaonique puisque il nous faut remonter aux alentours de 50 à 60 millions d’années.
Voici donc un animal terrestre (Baptisé Epirigenys lokonensis...), ce dernier aurait donné naissance à deux groupes distincts :
Les cétacés, des mammifères marins ...
Et des anthracothères. Un autre groupe de mammifères terrestres, mais ceux-ci furent ongulés.
De plus ...
Aujourd'hui les hippopotames semblent bien être considérés comme les derniers représentants de cette famille.
Ainsi ...
Le plus proche cousin de l'hippopotame serait bien la baleine.
D'ailleurs à Hierakonpolis,
il existait bien une coutume quant à l'enterrement d'animaux exotiques.
Ils furent trouvés dans le cimetière de l'élite HK6.
Voyez, vers le milieu de cette carte, à droite, notre hippopotame ...
L'artisan puisqu'il s'agit bien de lui a su / pu restituer et ce à la perfection cette anatomie quant à cet énorme pachyderme
traduisant ainsi cette pesanteur.
Paradoxalement il l'a rendu émouvant quant à notre ressenti !
Musée du Louvre.
"Le potier a dessiné sur leur corps,
à l'encre noire,
des fourrés de roseaux et de lotus
au milieu desquels volent des oiseaux et des papillons.
C'était une manière de montrer la bête dans son milieu naturel.
Le bleu en est profond, éclatant
et
le vert
reparaît avec les dynasties saïtes.”
Gaston Maspero.
Débonnaire, avec ce mouvement en pleine marche. Tout naturellement, il devait bien se glisser dans les marécages : notons au passage qu'il semble même recouvert de plantes aquatiques.
Cette faïence égyptienne ...
Parfaitement brillante ...
D'un bleu vif, était habituellement déposée dans les hypogées des hauts dignitaires et ce à la fin du Moyen Empire: nonobstant, il faut savoir que ces dépôts disparurent bien subitement, à la fin de la 17e dynastie.
A cet effet, souvenez-vous ...
Les romains faisaient venir des hippopotames pour leurs jeux, par conséquent, je suppute que cette disparition quant à sa représentation ne peut être imputée au fait de son élimination physique en tant qu'animal nilotique. Ainsi, il devait bien en rester encore suffisamment au sein de la terre des netjerou.
L'historien Ammien Marcellin écrivit qu'il n'y avait plus d'hippopotames sur la terre de Kemet.
L'explorateur Cosmas, du 5e siècle, devait malheureusement confirmer cela.
...
Les Égyptiens ont modelé et moulé ainsi de petits objets en "bleu Égyptien", matériau du reste qu'il ne faut pas confondre avec la frite émaillée.
Ainsi dans cet art ...
Les couleursavaient une signification bien spécifique, précise, indépendante pratiquement de leur valeur esthétique.
Trois de ses jambes furent visiblement restaurées.
Avaient-elles véritablement été brisées volontairement comme d'aucuns semblent le suspecter ?
Le furent-ellesà des fins de protection ? Et ce vis-à-vis évidemment de Senbi II, dans l'au-delà. Senbi II à Meir, un site de la Haute-Égypte à une trentaine de miles au sud d'Assiout moderne.
"William" ...
Tel serait le "nom d'emprunt" de cette statuette au sein d'une collection du Metropolitan Museum of Art de New York.
Souvenez-vous d'Apophis, ce pharaon et successeur de Khyan ...
Nous sommes à la fin de cette domination étrangère que fut cette invasion Hyksôs : vous savez les fameux "faux amis". On remarquera au passage que les Hyksôs semblaient bien "s’égyptianiser" rapidement par l'emploie de la nomenclature d'Apophis.
Parallèlement, demeurait à Thèbes une famille princière égyptienne qui gouvernait la région thébaine. Gouvernait, certes, mais en reconnaissant la souveraineté d'Apophis. Ainsi commença, en quelque sorte, la rébellion de la Haute-Égypte.
Ainsi je vous rappellerais ce texte provenant du règne de Seqenenre, il relatait ceci :
"(...)
Le roi Apopi
(Apophis)
envoya une lettre à Seqenenre
pour se plaindre que les hippopotames de Thèbes
l’empêchaient de dormir
(...)"
Je subodore que cette plainte correspondait à un rituel, celui d'un certain sacrifice, à savoir celui de l’hippopotame. Ce dernier fut bien l'hypostase du netjer Seth.
Le pharaon Apophis était un des fidèles de cette déité.
De fait ...
Je suppute qu'il désirait que l'on arrêta ce genre de rituel.
Apopi n'aurait-il pas finalement voulu montrer, de cette façon, que certains partisans thébains soumettaient l'idée de la reconquête du Nord, dont les vociférations revanchardes seraient parvenues jusqu'à lui ... ?
... ?
Seqenenre rejeta alors la demande d’Apophis ...
S'ensuivit alors le fameux conflit et, comme vous savez, le "rejet à la mer des faux amis" ...
Malheureusement, nous savons bien qu'il a disparu du Nil. Paradoxalement à son abondance durant cette antiquité...
Serait-ce en fonction :
→ De la chasse ?
Les mastabas du Moyen Empire et de la Deuxième Période Intermédiaire nous montrent d'ailleurs certaines scènes de chasse à l'hippopotame ... Les nantis ainsi que pharaon bien sûr le chassaient au harpon au sein des marais du Nil. En les chassant d'ailleurs, le spouverain démontrait bien son rôle de protection, de puissance, d'invulnérabilité, ...
Il faisait donc partie intégrante des animaux dangereux de Kemet l'antique, surtout le mâle.
En vérité ...
L'hippopotame fut probablement une sorte de désastre en ce qui concernait les paysans car il devait ravager les champs pouvant certainement entraîner des famines ...
Nos anciens avaient cette coutume d'aduler lesanimaux, surtout ceux qu'ils craignaient. Ainsi, désiraient-ils s'en approprier, en tout cas, concernant leur protection divine.
Ceci explique certainement que l'on en retrouva sous la forme de statuettes de couleur bleue dans les hypogées :
Hippopotame dans son milieu,
Principalement sous leMoyen Empire comme nous l'avons déjà mentionné.
Ce fragment de figurine en terre cuite représente la tête d'un hippopotame avec la partie supérieure du corps incisée par des lignes formant des carrés. La pièce, qui a été trouvée dans le temple d'Osiris à Abydos, date de la période protodynastique. Il porte de nombreuses traces de couleurs.
ABYDOS _ PÉRIODE DYNASTIQUE PRÉCOCE/PÉRIODE THINITE
A. Behrmann, L'hippopotame dans le monde imaginaire de l'Égypte antique, Francfort 1989, I, doc. 50k
La partie principale de la paroi nord de la salle de l'offrande est dominée par un beau relief de Ty, il se tenait debout sur un bateau de papyrus et visiblement il présidait une chasse à l'hippopotame.
Ty est debout, derrière le bateau flottant sur un marais rempli de poissons, d'hippopotomes et un crocodile.
Il est représenté avec un "nain" ainsi qu'un animal de compagnie.
Sic : "Ancient Egyptian grave goods are traditionally understood as relatively straightforward evidence of the material needs of a human being in the afterlife, either literally (e.g. food and drink) or in various symbolic ways. A good example where such symbolic readings have dominated modern understandings is the well-known category of faience figurines of hippopotamuses from Middle Kingdom (Middle Bronze Age, early 2nd millennium BCE) Egypt. Drawing on the materiality of the object and the transformations it undergoes during fabrication, it is argued that the production technique based on chemical efflorescence offers a powerful conceptual model for the ontology 63 TAG 2 0 1 6 of the image. The mode of fabrication where an internal potential emerges from the material by drying and heating on the one hand, and the surface decoration representing the lush aquatic environment of the river Nile on the other, both serve to add elements of flow and continuous becoming to the otherwise fixed and stable form of the glazed figurine, a tension which can be further influenced by the deliberate breaking of the finished figurine before deposition. This tension is mirrored in the ancient Egyptian ontological concept at, ‘moment, impulse’ which is written in the period under discussion precisely using a sign depicting the head of a hippopotamus, indicating a connection between the ‘conceptual affordances’ offered by the object and broader Egyptian ontological frameworks."
Sic :"This relief of the mastaba of Idut, in Saqqara, of the 6th dynasty, shows a fisherman standing on a papyrus skiff, handling with both hands a small net or fishnet, very similar to those that are still used today in Egypt. Beneath the boat lurks a fierce-looking hippopotamus."
Chaque année le paysage de l'Égypte était façonné par le Nil et ses inondations :
Les rives du fleuve étaient sous l'eau pendant les quatre mois d'été.
Grâce au limon déposé par les inondations, les rives du Nil ont été recouvertes de zones marécageuses peuplées d'insectes et d'oiseaux aquatiques.
La rivière était pleine de poissons, de crocodiles, de tortues et d'hippopotames.
Ce phénomène naturel a été arrêté en 1971 avec la construction du barrage d'Aswan !
Des siècles de chasse ...
L'extension des terres cultivables ...
La réduction des marais réduisent considérablement leur nombre !
Au milieu du premier millénaire B.C.E, l'hippopotame était probablement devenu très rare dans le delta et le Fayoum.
Cependant, dans les premiers siècles de notre ère, il restait assez d'hippopotames en Égypte pour que les Romains les apportent pour les jeux du cirque.
Aujourd'hui, l'hippopotame (littéralement "cheval de rivière") a disparu du Nil.
L'hippopotame a déserté le paysage égyptien. ".
Pendant la période Ramesside, le dieu Seth a été honoré par les souverains.
L'hippopotame ...
Étant son animal sacré ...
Il suit assez naturellement un changement vers le cheval de rivière.
L'hippopotame fut alors honoré pendant trois siècles !
Nonobstant ...
Lorsque Seth fut à nouveau diabolisé, l'hippopotame redevient mauvais !
Capable d'avaler 200 kg de nourriture ...
C'était un vrai fléau pour les paysans !
Cependant :
Sa chair a été recherchée et la chasse aux hippopotames avec des harpons dans les marais du Nil était une activité de choix.
Il fournissait également du cuir épais (boucliers) ,
De l'ivoire aussi, utilisés par les artisans.
Sa graisse et ses excréments, était utilisée par la pharmacie.
...
En raison de sa force ...
De sa fureur ...
Qu'il était bien apte à exercer contre ses ennemi.
Le mâle avait bien une image négative, il était craint car assimilé à Seth ; vous savez le meurtrier d'Osiris, représentant le mal.
À Edfou ...
L'hippopotame fut détesté ...
A tel point qu'un corps de harponneurs sacrés fut créé pour l'éliminer systématiquement.
L'image du pharaon chassant l'hippopotame montrait bien que le souverain accomplissait sa mission de protection en éliminant le fauteur de trouble !
This figure of a hippo was molded in faience, a crushed quartz glazed and fired at a relatively low temperature. Copper salts in the glaze impart the bright blue or blue-green color so characteristic of faience objects.
Over the animal’s naturalistic shape, the craftsman painted lily plants that appear as a giant tattoo. Small sculptures of hippos such as this one were placed in tombs in ancient Egypt as reminders of the Egyptians’ love of hunting. Each of the sculpted hippo’s legs was ritually broken in order to render it harmless in the afterlife.
In ancient Egypt herds of hippos were a constant threat to farmers’ fields. The first pharaohs hunted hippos in the marshes and eventually drove them far south into Upper Egypt. Hippos became associated with chaos, and the hunt for hippos became a metaphor for how the pharaohs of ancient Egypt could conquer evil.
Middle Kingdom, 13th Dynasty, ca. 1783-1640 BC. Now the Saint Louis Art Museum. 242:1952"
Elle est omniprésente au sein de cette ère et devait probablement impliquer une sorte de système, de cohérence, ...
Alors, lorsque nous mentionnons cela presque automatiquement nous avons à l'esprit une forte variété d'éléments, d'une certaine complexité d'ailleurs, à la manière de la théorie du chaos.
Interactifs,
Organisés,
Totaux ...
C'est à dire que si l'un des éléments est modifié, cela entraine aussi tous les autres : une analogie finalement à l'effet papillon.
Finalisés ...
Il y a toujours une certaine logique d'ensemble, même si en premier lieu, nous ne la visionnons pas.
...
Même de façon symbolique, les animaux devaient être intrinsèques à ce type de paradigme.
Un archétype :
Bien complexe,
Engendrant également bien des sentiments comme l'amour, la sympathie, ..., et même l'antipathie. Avec parfois finalement un certain type de procès d'intention.
...
Un symbolisme animal comme :
L'instinct,
Cette capacité à désigner (Un netjer par exemple, ...),
A signifier aussi,
Ainsi qu'à exercer une certaine influence dans le monde des humains.
Ce symbolisme fut-il arbitraire ?
Peut-être pas tant que cela finalement. Ce symbolisme animal ne serait-il pas né du cadre, de l'environnement, du comportement, ..., de cette diversité de la vie, comme du reste des caractéristiques observées quant à l'animal ?
L'animal est comme l'Homme. D'ailleurs, souvenez-vous de Darwin, même si d'aucuns discutent sa théorie, n'exprima-t-il pas le fait que "L'Homme est un animal comme les autres." ...
Il est vivant,
Il respire,
Il possède une certaine mobilité,
Il est sensible à son environnement,
Maintenant certains scientifiques soulèvent même leur caractère émotionnel, voir même d'une intelligence certaine,
Il se reproduit,
...
Une momie bien conservée d'un taureau du temple Serapeum à Saqqarah ...
Encore une fois aujourd'hui, le miracle qui se produit deux fois par an au temple d'Abu Simbel se répète.
Dans l'ancien lieu, les 21 février et 21 octobre, le soleil traversait le temple à l'aube pour illuminer les statues des dieux. Ra, Ramsès II et Amon étaient illuminés par les rayons du soleil et seul Ptha, dieu des ténèbres, restait dans les ténèbres.
Avec le nouvel emplacement du temple à cause de son démontage et de son nouveau montage, le miracle du soleil, se produit un jour plus tard et ce dans les deux mois, octobre et fevrier !
Une merveille de précision que seule l'Égypte peut nous donner.
ânkh, un symbole ancré dans l'Histoire de Kemet.
"Vivre" …
"La vie éternelle" …
"Clé de vie" ...
Le "souffle de vie" ...
Nos anciens concevaient la vie "ânkh" comme un chemin sur lequel il devait avancer, "donner du chemin au pied" ...
de l'obélisque représenteun rayon de soleil pétrifié.
Certains y voient dans cette architecture phallique un symbole de fertilité.
Sa verticalité représente aussi l'âme qui s'élève vers le ciel après la mort d'où l'utilisation de ce monument dans l'art funéraire !
L’obélisque ...
C'est bien est une colonne à base carrée qui se rétrécit en s’élevant, jusqu’à atteindre son extrémité couronnée d’une petite pyramide appelée pyramidion.
Les obélisques ont été utilisés pour la première fois dans l’Égypte ancienne, où ils étaient érigés pour adorer principalement Amon Ra, Baal, Nimrod et les différentes divinités qui, avec le temps, ont été associées au roi des étoiles.
Les côtés du monument étaient gravés de hiéroglyphes indiquant quel pharaon l’avait érigé, quel était le nom de la divinité auquel il était dédié et quel était l’événement militaire ou politique pour lequel il avait été érigé.
Les obélisques sont également clairement des symboles sexuels, puisque le phallus, l’organe reproducteur masculin, était également reconnu (comme le Soleil) comme un symbole de la vie et, par conséquent, un symbole du nTr Soleil lui-même.
je lui suis très reconnaissant de s'être exprimé !
Comme chaque année qui nous est données par les divinités ...
Depuis cette création, celle du Grand Ramsès II,
Et ce aux mêmes périodes,
Durant des millénaires,
...
Abou Simbel
est
le "miracle du soleil" !
C'est bien un phénomène qui se produit régulièrement, avec une précision à couper le souffle, et cemême encore aujourd'hui !
Nos anciens ...
Ils ont construit leurs temples avec un soin extrême !
A tel point qu'ils ont même pris soin de mesurer avec précision les angles ; avec leurs instruments d'alors, ce qui a permis d'ailleurs, il faut bien le souligner, une ventilation idéale des temples !
Les anciens temples égyptiens ont été construits avec des évents centraux.
Ils fournissaient ainsi deux pressions différentes de flux d'air :
Entre les zones étroites,
Et celles plus larges.
Cette méthode ingénieuse a préservé l'atmosphère originale et la qualité de l'air ...
Temple révélé au public en 1813
par des gravures de l’explorateur suisse Jean Louis Burckhardt.
Il a fait l’objet d’un sauvetage spectaculaire,
à la fin des années 1960,
permettant de ne pas être englouti par les eaux du lac Nasser.
Le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice : quel bel exploit quant à nos anciens !
Un phénomène qui fut redécouvert visiblement en 1873 !
Ainsi,
Près d'un siècle plus tard,
En raison de la construction du barrage d'Assouan,
Le temple a dû être déplacé ; mais cela, vous le savez !
Lorsque le temple se trouvait à sa localisation originelle, il se trouvait bien plus bas qu'actuellement !
De fait ...
Pour nos anciens égyptiens ...
L'évènement devait avoir lieu les21 févrieret 21 octobre : un décalage d'une journée ! Le spectacle reste cependant exactement le même, un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent assister avec émoi devant tant d'ingéniosité.
Ainsi :
Quand Ramsès II
ressort de l’obscurité !
Adonc ...
La façade du site d'Abou Simbel vous accueille avec :
⇒ Quatre Ramsès II colossaux... en position assis.
67 années de règne divin,
Mort entre 85 et 92 ans,
Plutôt grand, pour cette époque je pense, 1.75 mètre,
Je suppute bien logiquement que ce ne fut pas le demi-nTr qui érigea lui-même cette œuvre majeur !
En aparté, nous savons bien que pharaon vécu fort longtemps, avec sans aucuns doutes les vicissitudes de la vie associées, aussi je subodore qu'il devait énormément souffrir les dernières années de sa vie, de son règne :
De terribles maux dentaires,
...
De spondylarthrite ankylosante,
...
⇒ Nous pouvons aussi observer deux représentations de Néfertari, et visiblement de taille presque similaire !
Nous sommes au sein du petit temple d'Abou Simbel comme vous savez,
le mot "petit" a évidemment tout son importance ici !
Un spéos.
L’adulation vis-à-vis de Néfertari sous les traits d’Hathor.
Une occasion, parmi tant d'autres d'ailleurs, d'élaborer certaines célébrations, moult festivités,
...
Voici donc le "Miracle"
de Râ
à Abou Simbel !
Nous sommes bien en ce 22 Octobre,
les rayons de Râ
traversent la sombre chambre du Grand Temple de Ramsès II
illuminant la statue du pharaon.
Avec cette illumination, celle de la statue deRamsès II ...
Autant dire que nous sommes en plein éclat, celui du divin bien évidemment !
Et ce au cœur même du grand temple d'Abou Simbel, et cela semble bien avoir été, comme vous savez, intégrée par les architectes dès la conception du prestigieux édifice : impressionnant quand même !
Nous sommes une race omnivore, la nature nous à créer ainsi "certainement" pour faire partie de son système de régulation, sauf que bientôt c'est nous qui allons être régulés hihihihihih ...
Nonobstant ...
Je vais peut-être casser certains de vos rêves !
Je suppute que nos anciens égyptiens avaient remarqué que certains oiseaux dit migrateurs, avant leur pérégrination, mangeaient plus que de raison, les chassant et s'apercevant que leur chair était ainsi plus goûteuse, ils en tirèrent la conclusion que l'élevage intensive pouvait leur apporter du bonheur gustatif : cela n'engage évidemment que ma personne ....
Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice : quel bel exploit quant à nos anciens !
Commémoration de son accession au trône ...
Ramsès II ne sombra jamais dans l’oubli ! Au Ier siècle B.C.E, Diodore de Sicile (Bibliothèque historique I, 47) le nomma Osymandias, déformation du nom de couronnement de Ramsès II : Ousermaâtrê. Tacite quant à lui évoqua le grand conquérant Rhamsès (Annales II, 60).
Au cours des quelques 20-25 minutes, les rayons de Râ auront pénétré une distance de 60m à l’intérieur du temple pour atteindre le sanctuaire ... Ceci marque le début du mois du début de la saison de la récolte pour les anciens Égyptiens.
Ce phénomène fut bien redécouvert et ce en 1873. Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple fut déplacé.
Se trouvant plus bas ...
L'évènement avait lieu les 21 février et 21 octobre.
Décalé d'une journée ...
Le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent normalement assister.
Ainsi :
Quand Ramsès II
ressort de l’obscurité !
Ainsi, la façade du site d'Abou Simbel vous accueille avec :
Quatre statues colossales, debout ...
Nous sommes en présence bien évidemment de Ramsès II.
Chaque découverte apporte son lot de connaissances quant à nos anciens.
Chaque nouvelle tranche de vie nous enseigne davantage encore sur notre Histoire.
Ce qui aujourd'hui semble de peu d'importance, demain sera peut-être considéré comme un élément de compréhension supplémentaire de ce gigantesque pulse que représente ce passé fort, fort lointain ...
Voici donc un rare aperçu de la vie d'une femme de haut-rang et ce il y a plus de 4 000 ans : elle est enterrée parmi les notables de son époque, près des pyramides de Gizeh. Nous sommes dans une période de paix, de richesse, de développement culturel, artistique, ...
La découverte de l'hypogée d'Hetepet aurait demandé l'évacuation de 200 à 300 m³ de terre !
Nous pouvons ainsi, avec cette découverte, admirer quelques remarquables prises de vues quant à de superbes peintures murales. Elles sont parfaitement bien conservées.
"Hetpet
est représentée sur des peintures murales
très bien conservées
en train de pêcher
et
de chasser"
Une noble dame ...
Ceci explique pourquoi elle fut enterrée dans la nécropole des notables de son époque.
Hetpet, elle nous rappelle ainsi l’importance des clergés féminins à l’époque des pharaons. Elle fut donc cette prêtresse d'Hathor, une déité de l'amour, de la beauté, de la musique, de la maternité et même de la joie dans la mythologie égyptienne. Les femmes ne semblaient pas si nombreuses que cela à prêcher dans la Kemet ancienne cependant elles le furent à se vouer au culte d'Hathor.
Hetpet vécue sous la 5e dynastie, -2 494 à -2 345 B.C.E, au sein de l'Ancien Empire. Un lieu qui renferme de hauts responsables dont certains ont été excavés lors de précédentes missions archéologiques.
Ainsi, vous pourrez découvrir une fausse porte, des reliefs de sa chapelle funéraire et ce au sein :
La dernière demeure de dame Hetepet fut trouvée en vérité en 1909 : en vérité, des blocs de pierre portant son nom avaient alors été découverts, non loin du Caire, ils provenaient de l’entrée de sa dernière demeure.
Puis ...
Pendant un siècle environ ...
L'hypogée retomba dans l'oublie. Ceci explique probablement qu'il demeure trop peu de notes sur cette notable découverte.
Ainsi ...
Nous sommes avec une équipe d'archéologues égyptiens dirigée par Mostafa Waziri, secrétaire général du "Supreme Council of Antiquities". Le lieu de son repos éternel va alors être (re)découvert en cette fin de 2017.
Nous sommes au sein d'une nécropole qui finalement est déjà parfaitement connue et ce à travers des hypogées de hauts responsables de la5e dynastie (2 494 - 2 345 B.C.E).
D'ailleurs ...
Certains auraient été ouverts au cours de précédentes missions archéologiques et ce depuis l'année 1842.
Une "apparence" qui nous laisses subodorer l'époque à savoir l'Ancien Empire :
Ce titre de prêtresse d’Hathor, déesse de la fertilité ...
Cela ne signifie pas qu’elle ait exclusivement rempli une fonction religieuse. Comme d’autres nobles, elle a pu cumuler des charges religieuses et administratives.
Gageons que l’étude approfondie de sa dernière demeure nous livrera davantage d’informations à son sujet.
"(Celle qui est) connue du roi".
"Propriétaire foncier".
Très peu de choses semblent cependant nous être parvenues quant à son ascendance :
Les chercheurs n'auraient pas pu déchiffrer autre chose que le début de la nomenclature du père à savoir "Nef".
Des représentations féériques, celles d'un bonheur idyllique, cela pourraient être liées aux bienfaits dispensés par Hathor.
Cependant cette dernière demeure comporte bien peu de sculptures. Ce point est à noter car finalement cela est particulièrement rarissime si nous considérons l'époque considérée.
Aussi ...
Nous pouvons remarquer de très bellespeintures murales, aux qualités indéniables, parfaitement conservées.
Ainsi, nous pouvons y admirer notamment quelques scènes classiques :
Les dernières demeures relatives aux enfants ST63 ainsi que ST64 représentent certainement les premières du genre trouvées à Gebel el Silsileh.
Car ses deux petits êtres sont conservés avec des biens funéraires complets.
Les chercheurs découvrirent aussi des cryptes et des chambres pour adultes dans une nécropole de la 18e dynastie à Gebel el-Silsileh dans cette région d'Assouan.
Une manière de pouvoir pénétrer dans le monde
religieux,
comme celui des coutumes
funéraires,
sociales,
et économiques,
de l'Egypte ancienne au cours des Thoutmôsis.
Nous serions au sein de la prestigieuse 18e dynastie.
Cette thématique fait suite au fruit du travail des chercheurs du ministère égyptien des Antiquités ainsi que de l'université suédoise de Lund.
Depuis 2015 …
Cette équipe dirigée par Maria Nilsson et Jon Ward a découvert 69 tombes ! Pratiquement toutes visitées par des pillards et ce au sein même des dynasties pharaoniques.
Cette année …
Quatre nouvelles sépultures dont quatreintactes, d’enfants.
Aussi vous serez à même de rencontrerer le non moins légendaire netjerSobek, vous savez le crocodile !
Brooklyn museum.
Ce lieu ...
Il fut autrefois une carrière pendant la période Thoutmoside : nous serions entre 1 504 et 1 388 B.C.E.
Aménophis I (1 525 -1 504), Thoutmosis I (1 504 -1 492), Thoutmosis II (1 492 - 1 479),
Hatshepsout (1 479 - 1 458/57), Thoutmosis III (1 479 -1 425),
Aménophis II (1 428 - 1 397), Thoutmosis IV (1 397 - 1 388), Aménophis III (1 388 - 1 351/50),
Aménophis IV / Akhenaton (1 351 – 1 334).
L'étendue de l'Égypte ancienne à son apogée territoriale, la 18e dynastie.
Sous Thoutmôsis III aucun pharaon n'avait conquis tant de choses.
"Kheny" ...
"Khenou" : nous sommes au sein de l'époque pharaonique. Son origine me paraît du reste bien difficile à cerner : serait-ce fonction de cette cité, celle de la rive est ? De fait nos anciens lui donnèrent cette nomenclature d' "EAU PURE".
"La carrière" fut également sa dénomination à la période Gréco-Romaine. En fait, il y avaient bien des carrières au Gebel el-Silsileh fournissant en pierres les chantiers des temples et hypogées de la Haute-Égypte et ce à la période thoutmoside.
Gebel Silsileh avec sa très longue histoire, allant du paléolithique à l'époque Copte.
Que dire aussi de cette "Montagne de la Chaîne" : d'aucuns supputeraient même que cela puisse provenir de la période arabe. Une chaîne aurait été tendue au travers de l'Itérou et ce afin d'entraver la communication fluviale.
En tout cas, ce lieu comporte bien les deux rives du Nil, un endroit bien étroit pour notre Itérou qui est du reste entouré de majestueuses collines faites de grès :
Nous sommes alors aux alentours de 145 km au sud de la cité aux cents portes, Thèbes.
Et plus précisément à 65 km au nord d'Assouan.
...
Avec :
Sa nécropole pré-dynastique,
Et ses graffitis contemporains comportant des humains, des animaux, des bateaux,...
Quant à l'Ancien Empire, sur la rive ouest, peu de traces demeurent : souvenons-nous notamment de Pépy I.
Aussi au Moyen Empire nous pouvons y voir des voyageurs avec leurs caravanes ainsi que leurs graffiti.
Une mission archéologique Suédo-égyptienne (Université de Lund), dirigée par Dr. Maria Nilsson et John Ward. Une équipe en coopération avec l'inspection de Kom Ombo et d’Assouan dirigée par M. Abdel Menum (Assouan) et M. Ahmed Sayed (Kom Ombo).
Et donc, selon elle, ce n'est pas la première fois que des égyptologues trouvent de pareilles dernières demeures sur ce légendaire site.
Il serait entouré également de matières organiques, certainement issues du bois qui devait composer le cercueil car les termites auraient fait leurs œuvres.
Un cerceuil qui devait du reste posséder un couvercle en grès très mal conservé, fait quant à lui de grès.
→ Une autre dernière demeure ...
Celui de cet enfant âgé de 6 à 9 ans, dansun cercueil en bois là aussi.
Probablement devait-il avoir entre 5 à 8 huit ans ! En fait les deuxième et troisième progénitures étaient accompagnées de moult artefacts.
La tête vers l'est …
Sa direction faciale semble avoir évolué probablement suite à l’inhumation ultérieur du ST63.
Le lin semble enveloppé le petit corps, lui-même posé sur des nattes de roseaux.
Il était accompagné de pièces funéraires :
Des amulettes,
Des bijoux comme des bracelets en bronze, trois scarabées dont l'un contenait le nom royal de Thoutmosis III (Menkhéperrê)
(La manifestation de Râ demeure) ou (Stable est la manifestation de Râ) mn-xpr-ra ),
Elle se démarque tout particulièrement vis-à-vis des autres petits êtres du fait qu'elle contient un squelette. Nonobstant, c'est celui d'un enfant âgé de5 à 8 ans.
Inhumé certes mais "visiblement sans aucun soin". (?)
En fait ...
Il était recouvert de débris de carrière.
Il présentait également des signes de maladie et même de blessures ! Tout ceci pourrait, à première vue, indiquer l'existence d'une hiérarchie sociale.
ne semble plus mystérieuse que cette pyramide de Khéops.
Comment nourrir la rêverie des amoureux de l’Égypte antique ?
La pyramide est ainsi :
Sondée,
Analysée,
Radiographiée,
Auscultée,
Interprétée,
Polémiquée,
... Mystérieuse, pourquoi Khéops ordonna-t-il la construction du système le plus complexe de toutes les pyramides ?
Peu de "spécialiste" s’aventurerait à expliquer avec certitude ce qui poussa pharaon à faire ériger un édifice d’une telle complexité : au-dessus du sol … ! Souvenez-vous de la pyramide rhomboïdale, de Dahchour, ..., elles ont leurs chambres au niveau du sol. D’aucuns suggèrent alors que les spécificités de Khéops seraient issues d'une succession de changements et ce au cours de l’élaboration des plans.
Nonobstant …
Mark Lehner s’appuyant sur des observations supputa que les plans furent bien élaborés avant le début de la construction. Ce qui à mon sens rend plus énigmatique encore le mystère de l’horizon de Khéops.
→ Siècle après siècle, pourquoi les pyramides nous fascinent-elles toujours autant ?
→ D’où viennent les légendes des chambres secrètes dissimulées au cœur de la seule des sept merveilles du monde encore debout ?
→ Y découvrira-t-on un jour une chambre abritant le trésor du pharaon Khéops ? Aussi, selonHérodote, Khéops reposerait depuis l'an 4 776 B.C.E à 58 m et ce au-dessous de la base même de sa propre pyramide.
Cependant, nous ne sommes sûrs de rien.
Voyez Franck Monnier ...
Aussi voyez plutôt :
Les quatre faces de l'horizon de Khéops ne sont pas parfaitement planes. Souvenez-vous de ce léger angle vers l’intérieur, il transforme ainsi sa base en polygone concave à huit faces.
Nous devons cette remarque au français André Pochan (Un physicien et un mathématicien français, passionné d'égyptologie.), nous sommes alors en 1934. Il étudia presque exclusivement les pyramides, nonobstant il faut reconnaître qu'il fut particulièrement critiqué par Jean-Philippe Lauer.Nous ne sommes sûr de rien au point que les chercheurs semblent ne pas comprendre les raisons des angles sur cette pyramide alors qu’ils sont absents sur ses voisines, mais leur régularité suggère quand même qu’ils sont certainement volontaires.
Nous ne sommes sûrs de rien.
Quelle serait donc véritablement les teneurs
de cette "curieuse découverte" ?
Nous sommes au sein de la pyramide de Kheops
avec les chercheurs de la mission ScanPyramids
lancée en fin d’année 2015.
Des rayons cosmiques
afin de sonder cet ouvrage monumental.
Ainsi le ScanPyramids Big Void (SP-BV) serait visiblement :
Entre 60 et 70 mètres de hauteur : aussi souvenez-vous ce monument fait 139m de hauteur et 230m en largeur, juste finalement au-dessus de la Grande Galerie. Nous sommes comme vous savez sur le plateau de Guizèh, aujourd'hui en très proche banlieue du Caire.
139 m sur les 146,58 mètres d’origine !
Une "cavité" située à environ 40 mètres de la chambre de la reine.
Il aurait des caractéristiques similaires à celles de la grande galerie, comme vous savez, la plus grande salle connue de la pyramide.
"Un vase clos".
"Le "grand vide" est totalement clos,
rien n’a été touché depuis la construction de la pyramide.
C’est une découverte très enthousiasmante"
Kunihiro Morishima, de l’Université de Nagoya au Japon, partenaire de la mission ScanPyramids.
Une cavité "aussi grande qu’un avion de 200 places en plein cœur de la pyramide".
En dehors des salles ouvertes aujourd'hui au public ...
D’autres demeures uniquement accessibles aux archéologues ainsi bien sûr qu'aux chercheurs.
Aussi ...
Depuis 2015 ...
ScanPyramids a fait des découvertes passionnantes (Deux autres artefacts : sur l’arête nord-est du monument ainsi que derrière sa face Nord) ! Cette expérience en réalité virtuelle, à savoir ScanPyramidsVR, permet aussi de découvrir non seulement les salles cachées au public mais aussi les dernières découvertes sur la plus célèbre pyramide d’Egypte.
Des équipes japonaise ...
Et française ont effectué des sondages pour la mission scientifique ScanPyramids avec la Faculté des Ingénieurs de l’Université du Caire et l’Institut français HIP (Heritage, Innovation, Preservation).
La présence d'une énorme cavité aurait été interprétée par les scientifiques faisant suite à des technologies ultra-modernes et non invasives i.e. non destructives en vérité : pas moins de 30 mètres de long, pouvant même être d'origine puisqu'il serait clos.
Comment les scientifiques ont-ils procédé ?
Quelles furent les paramètres afin de calibrer les instruments ?
Les scientifiques ont-ils éliminé certains d'entre eux (Paramètres) ? Et comment l'ont-ils décidé d'ailleurs ?
Quel serait l'incidence de telles décisions sur les modélisations finales ?
Le point
Les chercheurs viennent donc de détecter la présence d'une cavité "invisible jusqu'à ce jour".
Cachée derrière la face nord ...
De plus, elle se situerait dans la zone où quatre chevrons visibles surplombent le couloir descendant.
Notons aussi que les chevrons de la véritable entrée étaient invisibles à l'origine, cachés derrière une couche de blocs. Les pierres furent cependant démantelées au cours des siècles. Des blocs que nous savons fort utiles puisque nous connaissons les chevrons en deux endroits : au-dessus des chambres du roi et de la reine ...
Il ne peut en aucun cas être la conséquence d'un éboulement toujours imaginable. C'est bien un espace dédié à quelque chose qui échappe encore aux spécialistes ...
"S'il s'agissait d'un chaos de gravats,
les mesures indiqueraient une faible sous-densité un peu partout.
Or là, nous avons une forte sous–densité locale"
Sébastien Procureur, responsable scientifique à l'Irfu / CEA.
Alors à quoi pouvait bien servir ce grand vide ?
Les chercheurs qui effectuèrent les différentes recherches refusent de "parler" de pièce secrète, de chambre cachée, ...
En plus de cela ils ne sont pas certains de la nature de ce vide.
S'agit-il d'une pièce ?
De plusieurs ?
D'un grand couloir ?
D'une autre Grande Galerie ?
... ? Cette mystérieuse cavité demeure pour l’heure inaccessible.
"Nous ne pouvons pas savoir
si le vide contient des artefacts
car ils seraient trop petits pour être détectés par ce type d’imagerie"
Kunihiro Morishima, coauteur de l’étude.
Et comment pénétrer dans cet espace situé en hauteur, visiblement profondément scellé, très difficile d'accès ?
Ainsi nous pouvons parfaitement bien imaginer que découvrir la dernière demeure de pharaon constituerait l'une des plus grandes découvertes de l'égyptologie moderne. Peut-être est-ce aussi là, en partie du moins, l'explication de cet engouement, de cet enthousiasme, des fantasmes aussi, de cette sensibilité exarcerbée parfois, de certaines carrières et/ou égos également, ..., des polémiques ?
Y aurait-il une particularité sur le fait que les constructeurs de la grande pyramide n'ont mentionné nulle part cette cavité ?
Une cavité détectée au-dessus de la Grande Galerie ...
Sa présence même, aurait-elle pu jouer sur les interprétations des imageries ? Et ce en créant une sorte d'image fantôme ? Je présume que les chercheurs ont entre eux soulevé cette "possibilité, cependant il aurait été bien judicieux de l'énoncer afin de valider davantage encore leur interprétation quant à l'existence de ce vide.
La découverte d'une cavité dans la pyramide de Kheops énoncée ...
L'équipe scientifique du projet a été critiquée, 2 jours suivant l'annonce. Critiques en premier lieu quant au non-respect du processus scientifique avant sa publication.
Cependant bien d'autres tirades semblent avoir également été exprimées, peut-être est-ce cela le prix du débat ? Du moment que cela reste dans le respect d'autrui ...
Aussi, n'oubliez jamais ...
Nous devons prendre certaines précautions bien inhérentes à ce genre de travaux éminemment sensibles ! Bien évidemment respectons tous les avis, même ceux des détracteurs, lisez-les avec attention.
Evitons cependant de rentrer dans certains conflits compétitifs.
Votre libre arbitre est là pour vous guider. Aussi continuez votre chemin et gardez cette envie d'apprendre et de comprendre cette merveilleuse civilisation.
Les "polémiques" sont toujours possibles, présentes, à venir puisque déjà le mot "découverte" l'a engendré. Cependant elles ne doivent surtout pas influencer la poursuite des recherches. Ces dernières doivent continuer à respecter une certaine déontologie scientifique quant aux méthodes employées.
→ L’archéologue Zahi Hawass ...
Il semble affirmer que cette immense cavité était déjà connue.
Ainsi Howard Middleton Jones et son défunt équipier décédé avaient détecté cette cavité au-dessus de la grande galerie et ce à partir de 1999. Ils l'auraient ainsi mentionné à Zahi Hawass "tout en lui expliquant la façon d'y accéder".
→ Dormion parla de cette supposée et probable cavité dans un de ses livres publié en 1986.
Ainsi il fut déposé à cette époque une autorisation, refusée du reste par Havass, et ce afin de permettre de disposer d'une fibre optique dans la Chambre de la Reine.
→ Desroches-Noblecourt ...
Dans son enseignement à l'école du Louvre elle parlait d'une théorie, l'existence d'une cavité...
→ Le chef du comité scientifique supervisant ScanPyramids ...
"La pyramide est pleine de vides
et
cela ne signifie pas qu’il y ait une chambre secrète
ou
une découverte."
"Il y a énormément de théories
sur l'existence d'éventuelles chambres secrètes dans la pyramide.
Si nous les cumulions toutes,
nous obtiendrions du gruyère !"
Mehdi Tayoubi.
"Mais aucune d'entre elles
ne prédisait l'existence de quelque chose d'aussi grand"
Mehdi Tayoubi.
→ Le chef du conseil gouvernemental en charge des antiquités ...
"Le projet doit procéder de façon scientifique
qui suit les
étapes de la recherche scientifique
et
ses discussions,
avant publication."
"Therefore,
the ministry sees that the ScanPyramid team should not rushed
to publish their findings in media at that stage of their research
because
it requires more research
and
it is to early to say that there was a new discovery.
...
they should not use propagandist terms such as
“new discovery;” and “a giant void.”
More researches and studies
are required in an attempt to know the secrets of this unique great monument."
Nous sommes le samedi 9 septembre avec une annonce du ministère des Antiquités.
Archéologues égyptiens dirigés par Mostafa Waziri, chef du département de Louxor ...
Une découverte modeste ...
Intéressante ...
Présentée à la manière d'un grand évènement. Kemet l'ancienne et l'Egypte moderne des grands chantiers méritent bien cela.
L’Égypte ancienne ...
Une ère adulée et pas seulement par les archéologues ! Serait-ce le fait des nombreuses découvertes.
Ainsi, la thématique d'aujourd’hui traite-elle d'un "nouveau" hypogée, celui d'un artisan d'excellence puisque nous serions en présence d'une dernière demeure relative à un orfèvre du netjer Amon : déité majeure comme vous savez quant à de la mythologie égyptienne.
Le quotidien d'antan
au
Nouvel Empire !
Un évènement que nous attendions depuis quelques temps maintenant.
Ainsi…
Après 5 mois de fouilles sous les rayons de Râ ...
Au cours d’une conférence de presse, le Dr Mostafa Waziry annonça une formidable découverte, celle d’une dernière demeure ! Nous étions alors le 18 avril 2017.
Et depuis, nous n'avions véritablement plus rien de concret.
Se pourrait-il, a dream peut-être, que cela soit la légendaire Néfertiti, sujet à moult articles médiatiques depuis quelques temps ?
… ?
L'orfèvre d'Amon,
Amenemhat,
près de Louxor.
Orfèvre ...
Cela ne fut pas seulement un travail, c'était probablement toute sa vie comme le fait de l'avoir consacrée à la divinité Amon.
Amon ...
Une divinité devenue majeur et ce tout particulièrement dans la belle cité aux cents portes, Ouaset, Niwt-Imn, la puissante.
Cette découverte a été faite par une mission archéologique égyptienne dirigée par Mostafa Waziri, c'est ainsi que le ministère égyptien des Antiquités l'a annoncé.
Nous sommes bien dans un domaine de pure archéologie.
Pas de trésor en perspectif, si cela est quand même la découverte d'une tranche de la mémoire de l'humanité et ce à travers l'inhumation probable d'une famille entière.
Ces vestiges sont situés dans la nécropole de Draa Aboul Naga, datant du Nouvel Empire, et plus précisément au XVe siècle B.C.E. Cette révélation a aussi le mérite d’accentuer la connaissance de cette nécropole et de sortir de l’oubli un nouveau fonctionnaire.
Vous pouvez accéder au chapitre en cliquant directement sur le titre de ce dernier !
Des archéologues ont bien découvert une dernière demeure.
Celle d'un orfèvre qui consacrait son oeuvre, son art, son travail au netjer Amon ! Mais pas seulement lui puisque les chercheurs ont également trouvé des momies d'une femme ainsi que de deux enfants : une famille en perspective.
Nous sommes au sein de la rive ouest du Nil, à Louxor. Et comme vous savez ce site est parfaitement réputé pour ses dernières demeures et ses temples.
114 hypogées pour la majorité érigés dans la roche. Cette nécropole appartient à la Vallée des nobles, où étaient enterrés les notables proches des pharaons, près de la Vallée des Rois, sur la rive gauche du Nil.
→ Remarquons par exemple la double dernière demeure d'Amenhotep I (1 524 - 1 504) ainsi que son "épouse supposée" Ahmès Néfertari : certains égyptologues semblent mettre en doute ...
Un lieu connu comme une nécropole de la famille royale mais également des hauts fonctionnaires des 17 et 18e dynasties. Cependant les sépultures les plus anciennes remontent à la 11e dynastie. Notons au passage qu’elles furent simplement réutilisées et ceci fréquemment en des temps bien postérieurs.
Elles montrent parfaitement, et heureusement du reste, que nous sommes encore loin de tout savoir et de tout comprendre, cela nous obligent avec ce plaisir incommensurable à remettre en question nos connaissances et surtout du reste nos interprétations.
Et si nous continuons dans cette thématique ...
Cette façon de penser et d'aborder les choses ...
Alors il est fort probable que le thème d'aujourd'hui devra bien évoluer dans les années à venir.
Nonobstant ...
Les faits, les résultats, eux, sont bien là et ne changent pas. Fascinant ...
Aussi souvenez-vous qu'Amenemhat fut une nomenclature pouvant fort bien être l'objet des deux sexes.
Il aurait ainsi vécu il y a environ 3 500 ans.
Orfèvre royal de son état, il consacra visiblement ses activités au netjer Amon.
Nous serions donc en présence d’un certain Amenemhat ainsi que de sa concubinedénommée Mehi. Nonobstant, sa momie n'a pas été, officiellement du moins, véritablement identifiée en tant que telle ! Cependant il n'y aurait pas de doute quant à l'identité du propriétaire de cette dernière demeure.
Amenemhat, une nomenclature qui fut celle également de plusieurs pharaons comme vous savez (Amenemhat I_ fondateur de la 12e dynastie_ à VII_ce dernier bien peu connu finalement fut quant à lui de la 13e dynastie) et cela pourrait être traduit littéralement par :
"Sous la responsabilité d'Amon".
Les chercheurs auraient trouvé au sein de leur dernière demeure une statue, celle d’Amenemhat, assis sur une chaise et ce à côté de sa femme. Cette dernière portait une robe, bien longue d'ailleurs, ainsi qu’une perruque.
De plus ...
Un portrait de leur fils a été peint entre eux deux, inconnu visiblement pour le moment.
Nous serions durant la fameuse 18e dynastie, celle que connue notamment les hauts personnages que furent Néfertiti, Tut Ankh Amon qu'inévitablement vous connaissez bien, ...
Et plus précisément nous serions entre les 16e et 11e siècles B.C.E selon les annonces du ministère des Antiquités.
La chapelle et son entrée semblent bien localisées au sein d'une cour datée quant à elle du Moyen Empire.
Nous sommes alors au niveau de Kampp 150.
A cette chapelle les archéologues trouvèrent deux puits funéraires :
→ L'un à 7 mètres de profondeur, à droite, destiné au défunt et à sa femme.
→ Partant de-là nous voici au sein d'une chambre funéraire contenant des fragments de momies, des sarcophages, des ouchebtis.
→ L'autre puits nous conduit à une autre salle contenant quant à elles des momies datées visiblement des 21e et 22e dynasties.
Nous sommes de fait en présence :
→ D'une petite pièce carrée, au niveau du sol.
Les chercheurs découvrirent ainsi une niche dont un morceau du décor reste encore visible aujourd'hui. Les fresques nous sont décrites comme ayant été d'une qualité certaine.
Aussi les chercheurs supputent-ils que cela pourrait s'expliquer par la proximité du souverain contemporain du défunt.
→ Une chambre funéraire.
Elle se situe à huit mètres au-dessous de la pièce d' "entrée" et contenait visiblement quatre momies.
→Au bout d'un couloir, menant à une salle, une niche funéraire, y séjournait visiblement :
La momie d'une femme.
Et selon Madame Chérine Ahmed Chawqi, une égyptologue et spécialiste des os, elle en aurait conclu que la défunte avait 50 ans à l'heure de la "rupture".
Nonobstant des doutes semblent avoir été émis quant à cette femme ! Les inscriptions mentionnent cependant un certain titre, celui de "dame de la maison".
Et de "ses" (?) deux enfants.
Cependant il nous faut rester prudent :
"Nous ne sommes pas sûrs
que ces momies soient
de la famille d’Amenemhat"
Mostafa Waziri.
"De toute évidence
la tombe a été réutilisée dans les temps anciens.
C'est probablement pourquoi leur tête est découverte"
Mostafa Waziri.
"Mais nous sommes extrêmement heureux de toute façon,
a-t-il ajouté,
car cela signifie que nous trouverons plus d’autres tombes dans cette région".
Les doutes quant à l'identification même du corps du propriétaire serait le fait que cette dernière demeure fut, comme bien souvent du reste, réutilisée plus tard et ce durant les 21e et 22e dynasties.
De plus ...
Une cinquantaine de "cônes funéraires" ont été visiblement découverts. Ils sont gravés avec le titre et la nomenclature du défunt. Ainsi sur les 50 cônes seulement dix auraient été liés à un corps.
Selon les chercheurs les 40 restants appartiendraient à quatre autres personnes qui, elles, ne seraient pas encore trouvées.
Ne tenez pas compte du côté sensationnel de cette "découverte" ...
Vous savez bien, nous serions dans ce cadre de la survivance quant à cette industrie essentielle, vitale même pour le "bien-être" de ce peuple d'Egypte moderne (Nous parlons quand même de cent millions d'habitants.).
Ne tenez pas compte non plus de ce que d'aucuns pourraient classifier de modeste vis-à-vis de cette "révélation" ...
Rien...
Aucun savoir...
Aucun décèlement...
Aucune exploration... Rien ne peut être considéré comme médiocre, insignifiant, maigre, modique, ... Une métaphore afin d'illustrée possiblement cette façon de concevoir les choses : l'Histoire est érigée de briques. Aussi petites soient-elles, elles n'en demeurent pas moins cruciales pour la compréhension de l'ensemble.
Aussi, les fouilles sont bien loin d'être terminées !
De plus...
Vous l'aurez bien compris, il nous reste beaucoup de points à éclaircir !
Alors à suivre...
Newly discovered tomb with several mummies.
Tomb Kampp -390 in Dra Abu El Naga, West Bank, Luxor.
Merci, votre note vient d'être comptabilisée.
Merci, mais vous avez déjà voté pour cette page, réessayez plus tard.
Hi! This is kind of off topic but I need some advice from an established blog.
Is it very difficult to set up your own blog?
I'm not very techincal but I can figure things out pretty fast.
I'm thinking about making my own but I'm not sure where to
begin. Do you have any ideas or suggestions? With thanks
Jean-Claude AIMELe 25/02/2018
Good evening. Making a blog is relatively easy today, no need to be a computer expert. There are the pre-realises areas, simply choose the options that you like and in a few minutes your blog is done: see for example OVERBLOG. Otherwise there are other areas or you have to create everything yourself, however it is necessary to know programming... Very friendly to you...