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L’Égypte dévoile sept hypogées de chats et de scarabées momifiés.
Nous sommes en octobre 2019 :
De notre lointain passé ...
Entre autres choses les artefacts archéologiques ...
Ils sont d'importances pour notre présent comme du reste notre futur car ils représentent, en quelque sorte, de véritables témoins de la vie de nos anciens.
Grâce à des techniques archéologiques modernes d'imageries et de fait de modélisations :
L'Inrap sur son site Internet :
L’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (Inrap) explique la façon dont s’est déroulé ce déshabillage bien virtuel.
Sic Inrap :
Au cours de la dernière décennie, grâce à une meilleure accessibilité aux nouvelles technologies d’imagerie médicale, la recherche sur les momies animales de l’Égypte ancienne a connu des avancées importantes qui permettent de mieux comprendre l’histoire et la culture de cette civilisation. Fruit d’une collaboration interdisciplinaire autour des programmes « Introspection du mobilier archéologique à l’ère du numérique » (ANR-FRQSC Introspect) et « Momies Animales et Humaines EgyptienneS » (MAHES), le travail de recherche réalisé sur la momie de Rennes combine des technologies d’imagerie médicale avec des méthodes d’interactions et d’impression 3D avancée par mélange de résines. Il a permis de révéler ainsi, de manière non destructrice, la nature interne de la momie."
Ainsi une momie avec un seul chat ?
Les scientifiques semblent avoir été surpris de constater que finalement cette momie fut composée de :
"Avec un scanner médical, on s’attend toujours à trouver quelque chose.
En l’occurrence,
on s’attendait à voir un chat et non plusieurs chats, mais ce n’est peut-être pas si exceptionnel.
Les momies animales se comptent par millions,
mais peu ont fait l’objet d’imagerie.
Certaines sont vides,
d’autres ne contiennent qu’un seul os,
parfois le chat est complet.
La momie de Rennes est une variante.
Certains chercheurs estiment qu’on a affaire à une escroquerie antique
organisée par des prêtres peu scrupuleux,
nous pensons au contraire qu’il existe d’innombrables façons
de confectionner des momies animales.
Nous en saurons plus une fois que nous aurons constitué un corpus d’imageries, ce qui rejoint un champ d’étude qui se développe à l’échelle mondiale.
L’intérêt de ce projet repose sur la collaboration pluridisciplinaire,
avec notamment des chercheurs en informatique,
qui permet de développer de nouveaux outils innovants tant sous l’angle scientifique,
que sous celui de la valorisation des connaissances.
...".
© Chercheur à l’Inrap impliqué dans le projet, Théophane Nicolas.
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