Le foie gras, nous ne savons pas si nos anciens le valorisaient véritablement ? En Égypte ancienne.
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ...
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Pinceau en fibre de palme. 1 390 à 1 352 B.C.E, Thèbes. 18e dynastie, Amenhotep III.
Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?
L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »
L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »
Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Je connais les secrets des hiéroglyphes ...
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !
Mitri a vécu pendant la cinquième dynastie et a servi son pharaon.
Peut-être Unas, vers 2400 B.C.E. Il a construit une grande tombe à l'angle sud-est de l'enceinte de la pyramide échelonnée, près de la chaussée du roi Unas.
Le sculpteur a entouré les yeux de cuivre et a utilisé de beaux cristaux de roche pour donner à Mitri un regard calme de gris profond. Les cristaux gris sont souvent bleus sur les photos. C'est un effet frappant §
Tableau d'écriture d'un apprenti scribe.
Première période intermédiaire Dynastie 11 ou avant, environ 2 030 B.C.E. Il ressort clairement des hiéroglyphes maladroitement formés et de leur espacement inégal que c'est l'œuvre d'un apprenti scribe qui pratiquait son écriture.
Le tableau d'écriture pourrait être utilisé encore et encore en grattant ou en essuyant l'encre et en ajoutant une nouvelle couche de blanc. Un autre tableau d'écriture de la collection montre les corrections faites à l'encre. Le Met New York.
Marie-Thé Perardelle.
Vallée des Nobles, TT69, tohypogée de Menna, "Scribe des champs du Seigneur du Double-Pays"
Les scribes contrôlent tout !
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
L’ensemble représente le hiéroglyphe du mot « scribe »
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Hiéroglyphe du groupe Y symbolisant la palette du scribe (et par extension, celui-ci).
Montrer du respect ... t(w)r,
'tour',
"montrer du respect" ...
En Égypte ancienne, il était indispensable de montrer du respect envers le roi et les dieux d'abord, mais aussi envers ses supérieurs, ses parents ... Les Égyptiens adoraient hiérarchiser !
La première phrase entière découverte dans l’un des plus anciens alphabets connus parle de poux ! «Que cette défense éradique les poux des cheveux et de la barbe»: l’inscription en cananéen, qui figure sur un peigne découvert en Israël en 2016, remonte à plus de 3700 ans
Nous sommes une race omnivore, la nature nous à créer ainsi "certainement" pour faire partie de son système de régulation, sauf que bientôt c'est nous qui allons être régulés hihihihihih ...
Nonobstant ...
Je vais peut-être casser certains de vos rêves !
Je suppute que nos anciens égyptiens avaient remarqué que certains oiseaux dit migrateurs, avant leur pérégrination, mangeaient plus que de raison, les chassant et s'apercevant que leur chair était ainsi plus goûteuse, ils en tirèrent la conclusion que l'élevage intensive pouvait leur apporter du bonheur gustatif : cela n'engage évidemment que ma personne ....
Aussi ...
Ils étaient beaucoup plus proche de la nature que nous ne le sommes maintenant, nous qui aimons vivre dans notre bulle moderne. Ils devaient avoir remarqués que certains oiseaux comme les oies, les canards, les grues, ..., pouvaient migrer.
Et ce tout naturellement ...
Avaient-ils alors compris que pour affronter leur long voyage à travers "la Méditerranée et l'Europe" (D'ailleurs, savaient-ils vraiment cela ?), ils devaient engloutir beaucoup de nourritures ? Tout laisse à supposer que cela fut bien le cas ...
Nous sommes ainsi au début du printemps ...
Un canard sauvage peut alors doubler sa masse corporelle par stockage de sa graisse (Et ce dans son foie).
Aussi ...
Comme dans bien d'autres domaines, après avoir observés et interprétés, ils en tirèrent certaines conclusions pragmatiques.
Ainsi ...
Lors de leurs nombreux élevages, ne poussèrent-ils leur production à travers le gavage. Car bien évidemment je subodore qu'ils avaient remarqués qu'ainsi nourri, l'animal était bien plus lourd, bien plus goûteux, ... : deux points d'importances.
Le troc devenait alors bien plus juteux ...
Au point qu'ils poussèrent leur technique à d'autres animaux comme les hyènes. Il ne fallait pas moins de trois volailles pour le repas d'une hyène. Du reste, d'aucuns semblent subodorer qu'ainsi rassasiés nos anciens pouvaient employer ses animaux pour la chasse.
Cinquième dynastie d'Égypte (2 498 - 2 345 B.C.E).
Vers 400 B.C.E les Égyptiens présentaient des oies engraissés comme cadeau à Agésilas, roi de Sparte.
Fin deuxième siècle B.C.E : les grecs "trypheron sykoton" signifiant le foie gras, apparaît d'abord dans le texte par Julius Pollux, un rhéteur grec.
Les Grecs et les Romains "qui allaient puiser leur savoir en Égypte, prisaient cet abat, évoqué dans certains écrits d’Homère et d’Horace".
Circa deuxième siècle B.C.E : Caton l'Ancien écrivit sur les techniques de gavage des oies dans son livre "sur l'agriculture".
Les Romains utilisaient des esclaves juifs pour nourrir les oies. Plus tard, ces pratiques seront assimilées dans l'aristocratie juive en Palestine.
Vers 77 après JC : Pline l'Ancien écrit "Historia Naturalis", pratique romaine du trempage du foie d'oie dans le lait et le miel pour augmenter sa taille. Pline suggéra que le gouverneur de la Syrie (49 - 48 B.C.E.) aurait inventé la pratique et la délicatesse.
Moyenne âge.
En raison des restrictions alimentaires qui interdisaient la cuisson avec du beurre, la graisse de volaille devint un substitut et la base de l'alimentation juive.
Après la chute des empires Égyptien et Romain, les Juifs gardèrent vivantes la pratique de l'engraissement des oies.
→ Circa 1 100 : les Juifs émigrèrent en France et en Allemagne, apportant avec eux leurs traditions d'oies d'engraissement ...
→ 1 788 : le gouverneur de l'Alsace échange un pâté de foie gras avec le roi Louis XVI pour un lopin de terre en Picardie.
Le roi commença alors l'offre de foie gras de Strasbourg à travers l'Europe, provoquant la popularité du plat ...
→ 1 800 : le Wisconsin devient la capitale officieuse de foie gras aux États-Unis
→ Avril 1 912 : le dernier dîner servi à bord du Titanic fut d'inclure le foie gras au céleri.
Le foie gras aurait été mariné, renforcé avec des truffes et cuit en croûte.
→ 1 950 - 1 970 : les chefs français commencèrent à établir des restaurants haut de gamme français à Manhattan.
Malgré la réputation de New York pour la sophistication, le foie gras resta surtout connu chez les immigrants allemands, juifs et français.
Le foie gras commença à devenir plus commercial une fois qu'il apparu sur les menus des restaurants comme Lutèce, ouvert en 1961.
→ 1 974 : Norvège Welfare Act animaux interdit le gavage des animaux.
→ 1 991 : le Danemark interdit l'alimentation forcée des animaux à moins qu'elle soit à des fins médicales.
→ 1 993 : l'Allemagne et la République tchèque adoptèrent des lois de protection animale qui interdisaient le gavage.
→ 1 996 : loi finlandaise sur la protection des animaux interdit l'alimentation forcée des animaux à des fins d'engraissement.
→ 1 999 : la Pologne interdit la récolte de leurs foies.
→ Août 2000 : le Royaume-Uni interdit la production de foie gras.
→ Janvier 2004 : le gavage des oiseaux devient illégal en Italie.
→ Septembre 2004 : la Californie interdit la vente de foie gras et mettra fin à la pratique du gavage en 2012.
→ Avril 2005 : foie gras de production devient illégale en Israël.
→ Avril 2006 : Chicago interdit la vente de foie gras.
L'ordonnance ne mentionnait pas la production de foie gras.
→ Février 2008 : le Prince Charles enleva le foie gras de tous les menus royaux.
→ Mai 2008 : Chicago, renversa son embargo sur le foie gras.
Ginor, Michael A. (1999), le Foie Gras: Une passion, John Wiley & Sons,
"Alimentaire dans le monde antique de A à Z", par Andrew Dalby, 2003.
"Histoire de l'alimentation", par Maguelonne Toussaint-Samat, traduit par Anthea Bell, 1992.
"Dernier Dîner à bord du Titanic: Menus et recettes de la grand paquebot", par Rick Archbold et Dana McCauley, 1997.
Landais et secrétaire général de la commission internationale d'anthropologie de l'alimentation et de la nutrition (ICAF), Frédéric Duhart s'est intéressé de près à l'histoire du canard mulard.
Fils de Râ, seigneur des Deux Terres,Aimé, doué de vie, comme Râ, à jamais.
"Travaille en silence et laisse le succès parler."
Le Grand Musée Égyptien (GEM),
connu sous le nom de Musée de Gizeh,
est un musée archéologique encore en "construction" à Gizeh.
Ceci serait née de l’imagination de Farouk Hosni.
Alors ministre de la Culture sous l’ère Moubarak ...
Il semble qu'il aurait reçu "un coup de poignard au cœur" lorsqu'un expert parisien avait osé qualifier de "vieil entrepôt" le mythique Musée égyptien du Caire de la place Tahrir.
En levant les yeux,
nous pourrons admirer le gigantesque escalier encadré de 60 statues conduisant jusqu’à un immense hall vitré.
De là s’ouvre une vue imprenable sur les trois pyramides de Gizeh, tombeaux des pharaons Khéops, Khéphren et Mykérinos.
Le superbe complexe en albâtre se déploie en contrebas du site des pyramides.
Le bâtiment fait corps avec le paysage désertique.
Haute de trois étages, la façade est décorée de motifs pyramidaux qui rappellent l’Égypte ancienne.
Et voici le G.E.M ... comme un écrin pour Toutankhamon !
Les visiteurs devraient accourir du monde entier.
Et ce afin de découvrir pour la première fois la collection complète du trésor de Toutânkhamon.
5 000 objets mis au jour en novembre 1922 par Howard Carter dans la vallée des Rois à Louxor.
Masques d’or,
Il sera au centre d’un espace qui lui sera entièrement dédié !
Sarcophages,
Lits,
Char en or,
Bijoux de nacre incrustés de pierres précieuses : les trésors du jeune roi, intacts depuis 3 000 ans, seront exposés dans les vitrines de l’immense galerie
Il offrira plus de 10 0000 artefacts dont les 5 000 pièces du légendaire Toutankhamon :
En construction depuis plus de 20 ans, ce projet du Grand Musée Égyptien a été annoncé en 2002, entamé en 2012. Le chantier de construction est bien immense ; un terrain d'environ 480 000 mètres carrés (5 200 000 pieds carrés) à environ 2 kilomètres (1,2 miles) du complexe pyramidal de Gizeh il a eu un coût initial qui a dépassé les 800 millions de dollars.
A comme vous savez été retardée, et ce entre autres chose, par la pandémie, nonobstant, cela devrait se faire sous peu !
L’espace d’exposition permanente de plus de 22 000 mètres carrés, conçu par le cabinet HENEGHAN Peng, est installé près des pyramides de Gizeh et abritera quelque 130 000 objets et comme précisé précédemment, avec quelques milliers provenant de l'hypogée de Toutankhamon, qui ne quitteront plus jamais les lieux.
Il mobilisera bien de la haute technologie afin d'offrir aux visiteurs un parcours interactif.
Contrairement au musée égyptien situé sur la place Tahrir, au centre-ville, le G.E.M se trouve sur le plateau de Gizeh, à proximité de la Grande Pyramide.
Le Nouveau Grand Musée Égyptien (G.E.M) accueille des événements privés et des visites de groupes. Le G.E.M a depuis déjà accueilli des groupes privés, notamment les invités du défilé de mode de Christian Dior.
Nonobstant, à l’heure actuelle ...
Il n'a pas encore été officiellement inauguré.
Il s’avère donc que cette installation accueillera quand même des visites en petits groupes !
Des événements bien exclusifs alors qu’elle entre dans sa phase d’essai initiale.
Dans des zones déterminées ...
Avec un trajet tracé ..
Les visiteurs peuvent se balader librement dans le Grand Hall où se trouvent :
Ainsi que la colonne de la victoire du souverain Mérenptah.
De fait, au cours de cette phase d’essai limitée, le musée sera partiellement ouvert à un nombre restreint d’invités, qui pourront accéder à certaines attractions, notamment :
Les deux institutions accueilleront parallèlement les passionnés de l'Égypte ancienne.
Le ministre du tourisme et des antiquités nous a bien assuré que "seul le trésor de Toutankhamon" sera déplacé ; nonobstant, en ce qui concerne le masque funéraire du pharaon Toutankhamon, fabriqué en or et pierres précieuses, il s'agira seulement d'un transfert provisoire.
Adonc ...
Si vous planifiez un séjour en Égypte l'année prochaine, prévoyez des excursions, de plusieurs journées et ce afin de découvrir les pyramides, le Sphinx, le Musée Égyptien de la place Tahriret ... le G.E.M.
22/02/2022 est une belle date palindrome en fait ! En ce sens elle semble bien unique : 22 - 2 - 22. Et c'est l'ultime fois, dans notre vie, que nous verrons les mêmes 6 chiffres dans une date.
C'est une date palindromique, pouvant se lire dans les deux sens, comme la prochaine fois qui aura lieu le 03.02.2030.
Le phénomène du soleil au temple d'Abu Simbel se produit deux fois par an, l'un le 22 octobre et l'autre le 22 février de chaque année. Un déplacement de lumière calculé par les architectes des temples, afin que le nTr transmette au pharaon sa toute-puissance. Les rayons de soleil traversent alors la sombre chambre du Grand Temple de Ramsès II illuminant ainsi la statue du pharaon, chaque année comme vous avez l’habitude, les 22 février et 22 octobre.
Le ministère du Tourisme et des Monuments ...
Le ministère de la Culture, semblent vouloir organiser en cette année, bien particulière, un événement, afin de célébrer ce rendez-vous dès plus spécial !
22 . 02 . 2022 ...
Cet alignement solaire que vous connaissez au sein notamment du temple d'Abou Simbel.
Ramsès illuminé est symboliquement réinvesti de l’éclat divin.
Photo montrant la statue de Ramsès II illuminée par Râ, dans le temple d'Abou Simbel en Haute-Égypte.
Sont successivement illuminées : d’abord celle du nTr Amon, puis celle de Ramsès,au niveau du 22 octobre l'ordre est bien différent !
Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice : quel bel exploit quant à nos anciens !
Voici une commémoration de l'accession de Ramsès II sur le trône d'Horus.
Ramsès II ne sombra jamais dans l’oubli !
Au Ier siècle B.C.E, Diodore de Sicile(Bibliothèque historique I, 47) le nomma Osymandias, déformation du nom de couronnement de Ramsès II : Ousermaâtrê. Tacite quant à lui évoqua le grand conquérant Rhamsès (Annales II, 60).
Au cours des quelques 20-25 minutes...
Les rayons de Râ auront pénétré une distance de 60m à l’intérieur du temple pour atteindre le sanctuaire ... Ceci marque le début du mois, celui surtout de la saison de la récolte pour nos anciens Égyptiens.
Ce phénomène fut redécouvert en 1873.
Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple fut déplacé.
Se trouvant ainsi plus bas ...
L'évènement avait lieu alors les 21 février et 21 octobre.
Un décalage d'une journée seulement ... Le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent normalement assister.
Ainsi :
Quand Ramsès II
ressort de l’obscurité !
Ainsi, la façade du site d'Abou Simbel vous accueille avec :
Quatre statues colossales, debout, nous sommes en présence, bien évidemment, de Ramsès II / Ramsès le Grand / Ozymandias / Manéthon l'appella Ramsès.
Avec visiblement 67 années de règne divin.
Ramsès II ne sombra bien dans l’oubli ...
Au Ier B.CE., Diodore de Sicile (Bibliothèque historique I, 47) le nomma Osymandias, déformation : Ousermaâtrê.
Tacite évoqua, quant à lui, le grand conquérant Rhamsès (Annales II, 60).
En 1817, Shelley chante Ozymadias, king of kings ...
En 1956, Yul Brynner incarne le pharaon immortel dans le péplum de Cecil B. DeMille : Les Dix Commandements.
Il est le héros de La Momie, roman d’horreur d’Anne Rice, publié en 1989.
Enfin, depuis 2017, le pharaon se trouve à l’affiche en France, avec la pièce de théâtre Ramsès II, de Sébastien Thiéry. Un thriller jouissif et fou qui n’est pas du tout une pièce historique sur l’Égypte ancienne !
Nonobstant, Ramsès est aujourd’hui une figure mondialement connue !
Son corps terrestre a traversé les millénaires, paradoxalement aux pillages.
Retrouvé en 1881, elle sera démailloté, déposé au musée du Caire, elle se détériora alors sous sa vitrine non étanche !
En 1976, avec Christiane Desroches Noblecourt, il sera accueilli au Bourget par la ministre des Universités et la Garde républicaine afin d'être traité.
Ainsi, la momie a révélé :
Un homme ayant décédé entre ses 85 et 92 ans, exceptionnel pour cette ère considérée.
Il souffrit de terribles problèmes dentaires et de spondylarthrite ankylosante ; ce qui l’empêcha de se tenir droit durant les dernières années de sa vie.
Et des dissensions qui ne devaient pas manquer ! Confrontations de ses deux grandes nations quant à leurs désirs d'expansion.
Après les travaux fondamentaux de Bonaparte, de Champollion, de Mariette ...
La France semblait considérer l'égyptologie comme une "possession scientifique".En effet, les Français ont très vite considéré l’égyptologie comme leur chasse gardée. On trouve ainsi sous la plume de Jacques-Joseph Champollion-Figeac (1778 - 1867), le frère aîné de Jean-François, les termes de "propriété littéraire" ou d’ " apanage" pour désigner l’égyptologie, et les décennies postérieures ne feront qu’amplifier ce discours (Gady 1999).
Marcel DOURGNON prévoira même dans ses plans de graver ses inscriptions en français.
Encore une fois aujourd'hui, le miracle qui se produit deux fois par an au temple d'Abu Simbel se répète.
Dans l'ancien lieu, les 21 février et 21 octobre, le soleil traversait le temple à l'aube pour illuminer les statues des dieux. Ra, Ramsès II et Amon étaient illuminés par les rayons du soleil et seul Ptha, dieu des ténèbres, restait dans les ténèbres.
Avec le nouvel emplacement du temple à cause de son démontage et de son nouveau montage, le miracle du soleil, se produit un jour plus tard et ce dans les deux mois, octobre et fevrier !
Une merveille de précision que seule l'Égypte peut nous donner.
ânkh, un symbole ancré dans l'Histoire de Kemet.
"Vivre" …
"La vie éternelle" …
"Clé de vie" ...
Le "souffle de vie" ...
Nos anciens concevaient la vie "ânkh" comme un chemin sur lequel il devait avancer, "donner du chemin au pied" ...
de l'obélisque représenteun rayon de soleil pétrifié.
Certains y voient dans cette architecture phallique un symbole de fertilité.
Sa verticalité représente aussi l'âme qui s'élève vers le ciel après la mort d'où l'utilisation de ce monument dans l'art funéraire !
L’obélisque ...
C'est bien est une colonne à base carrée qui se rétrécit en s’élevant, jusqu’à atteindre son extrémité couronnée d’une petite pyramide appelée pyramidion.
Les obélisques ont été utilisés pour la première fois dans l’Égypte ancienne, où ils étaient érigés pour adorer principalement Amon Ra, Baal, Nimrod et les différentes divinités qui, avec le temps, ont été associées au roi des étoiles.
Les côtés du monument étaient gravés de hiéroglyphes indiquant quel pharaon l’avait érigé, quel était le nom de la divinité auquel il était dédié et quel était l’événement militaire ou politique pour lequel il avait été érigé.
Les obélisques sont également clairement des symboles sexuels, puisque le phallus, l’organe reproducteur masculin, était également reconnu (comme le Soleil) comme un symbole de la vie et, par conséquent, un symbole du nTr Soleil lui-même.
je lui suis très reconnaissant de s'être exprimé !
Comme chaque année qui nous est données par les divinités ...
Depuis cette création, celle du Grand Ramsès II,
Et ce aux mêmes périodes,
Durant des millénaires,
...
Abou Simbel
est
le "miracle du soleil" !
C'est bien un phénomène qui se produit régulièrement, avec une précision à couper le souffle, et cemême encore aujourd'hui !
Nos anciens ...
Ils ont construit leurs temples avec un soin extrême !
A tel point qu'ils ont même pris soin de mesurer avec précision les angles ; avec leurs instruments d'alors, ce qui a permis d'ailleurs, il faut bien le souligner, une ventilation idéale des temples !
Les anciens temples égyptiens ont été construits avec des évents centraux.
Ils fournissaient ainsi deux pressions différentes de flux d'air :
Entre les zones étroites,
Et celles plus larges.
Cette méthode ingénieuse a préservé l'atmosphère originale et la qualité de l'air ...
Temple révélé au public en 1813
par des gravures de l’explorateur suisse Jean Louis Burckhardt.
Il a fait l’objet d’un sauvetage spectaculaire,
à la fin des années 1960,
permettant de ne pas être englouti par les eaux du lac Nasser.
Le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice : quel bel exploit quant à nos anciens !
Un phénomène qui fut redécouvert visiblement en 1873 !
Ainsi,
Près d'un siècle plus tard,
En raison de la construction du barrage d'Assouan,
Le temple a dû être déplacé ; mais cela, vous le savez !
Lorsque le temple se trouvait à sa localisation originelle, il se trouvait bien plus bas qu'actuellement !
De fait ...
Pour nos anciens égyptiens ...
L'évènement devait avoir lieu les21 févrieret 21 octobre : un décalage d'une journée ! Le spectacle reste cependant exactement le même, un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent assister avec émoi devant tant d'ingéniosité.
Ainsi :
Quand Ramsès II
ressort de l’obscurité !
Adonc ...
La façade du site d'Abou Simbel vous accueille avec :
⇒ Quatre Ramsès II colossaux... en position assis.
67 années de règne divin,
Mort entre 85 et 92 ans,
Plutôt grand, pour cette époque je pense, 1.75 mètre,
Je suppute bien logiquement que ce ne fut pas le demi-nTr qui érigea lui-même cette œuvre majeur !
En aparté, nous savons bien que pharaon vécu fort longtemps, avec sans aucuns doutes les vicissitudes de la vie associées, aussi je subodore qu'il devait énormément souffrir les dernières années de sa vie, de son règne :
De terribles maux dentaires,
...
De spondylarthrite ankylosante,
...
⇒ Nous pouvons aussi observer deux représentations de Néfertari, et visiblement de taille presque similaire !
Nous sommes au sein du petit temple d'Abou Simbel comme vous savez,
le mot "petit" a évidemment tout son importance ici !
Un spéos.
L’adulation vis-à-vis de Néfertari sous les traits d’Hathor.
Une occasion, parmi tant d'autres d'ailleurs, d'élaborer certaines célébrations, moult festivités,
...
Voici donc le "Miracle"
de Râ
à Abou Simbel !
Nous sommes bien en ce 22 Octobre,
les rayons de Râ
traversent la sombre chambre du Grand Temple de Ramsès II
illuminant la statue du pharaon.
Avec cette illumination, celle de la statue deRamsès II ...
Autant dire que nous sommes en plein éclat, celui du divin bien évidemment !
Et ce au cœur même du grand temple d'Abou Simbel, et cela semble bien avoir été, comme vous savez, intégrée par les architectes dès la conception du prestigieux édifice : impressionnant quand même !
Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice : quel bel exploit quant à nos anciens !
Commémoration de son accession au trône ...
Ramsès II ne sombra jamais dans l’oubli ! Au Ier siècle B.C.E, Diodore de Sicile (Bibliothèque historique I, 47) le nomma Osymandias, déformation du nom de couronnement de Ramsès II : Ousermaâtrê. Tacite quant à lui évoqua le grand conquérant Rhamsès (Annales II, 60).
Au cours des quelques 20-25 minutes, les rayons de Râ auront pénétré une distance de 60m à l’intérieur du temple pour atteindre le sanctuaire ... Ceci marque le début du mois du début de la saison de la récolte pour les anciens Égyptiens.
Ce phénomène fut bien redécouvert et ce en 1873. Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple fut déplacé.
Se trouvant plus bas ...
L'évènement avait lieu les 21 février et 21 octobre.
Décalé d'une journée ...
Le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent normalement assister.
Ainsi :
Quand Ramsès II
ressort de l’obscurité !
Ainsi, la façade du site d'Abou Simbel vous accueille avec :
Quatre statues colossales, debout ...
Nous sommes en présence bien évidemment de Ramsès II.
Chaque découverte apporte son lot de connaissances quant à nos anciens.
Chaque nouvelle tranche de vie nous enseigne davantage encore sur notre Histoire.
Ce qui aujourd'hui semble de peu d'importance, demain sera peut-être considéré comme un élément de compréhension supplémentaire de ce gigantesque pulse que représente ce passé fort, fort lointain ...
Voici donc un rare aperçu de la vie d'une femme de haut-rang et ce il y a plus de 4 000 ans : elle est enterrée parmi les notables de son époque, près des pyramides de Gizeh. Nous sommes dans une période de paix, de richesse, de développement culturel, artistique, ...
La découverte de l'hypogée d'Hetepet aurait demandé l'évacuation de 200 à 300 m³ de terre !
Nous pouvons ainsi, avec cette découverte, admirer quelques remarquables prises de vues quant à de superbes peintures murales. Elles sont parfaitement bien conservées.
"Hetpet
est représentée sur des peintures murales
très bien conservées
en train de pêcher
et
de chasser"
Une noble dame ...
Ceci explique pourquoi elle fut enterrée dans la nécropole des notables de son époque.
Hetpet, elle nous rappelle ainsi l’importance des clergés féminins à l’époque des pharaons. Elle fut donc cette prêtresse d'Hathor, une déité de l'amour, de la beauté, de la musique, de la maternité et même de la joie dans la mythologie égyptienne. Les femmes ne semblaient pas si nombreuses que cela à prêcher dans la Kemet ancienne cependant elles le furent à se vouer au culte d'Hathor.
Hetpet vécue sous la 5e dynastie, -2 494 à -2 345 B.C.E, au sein de l'Ancien Empire. Un lieu qui renferme de hauts responsables dont certains ont été excavés lors de précédentes missions archéologiques.
Ainsi, vous pourrez découvrir une fausse porte, des reliefs de sa chapelle funéraire et ce au sein :
La dernière demeure de dame Hetepet fut trouvée en vérité en 1909 : en vérité, des blocs de pierre portant son nom avaient alors été découverts, non loin du Caire, ils provenaient de l’entrée de sa dernière demeure.
Puis ...
Pendant un siècle environ ...
L'hypogée retomba dans l'oublie. Ceci explique probablement qu'il demeure trop peu de notes sur cette notable découverte.
Ainsi ...
Nous sommes avec une équipe d'archéologues égyptiens dirigée par Mostafa Waziri, secrétaire général du "Supreme Council of Antiquities". Le lieu de son repos éternel va alors être (re)découvert en cette fin de 2017.
Nous sommes au sein d'une nécropole qui finalement est déjà parfaitement connue et ce à travers des hypogées de hauts responsables de la5e dynastie (2 494 - 2 345 B.C.E).
D'ailleurs ...
Certains auraient été ouverts au cours de précédentes missions archéologiques et ce depuis l'année 1842.
Une "apparence" qui nous laisses subodorer l'époque à savoir l'Ancien Empire :
Ce titre de prêtresse d’Hathor, déesse de la fertilité ...
Cela ne signifie pas qu’elle ait exclusivement rempli une fonction religieuse. Comme d’autres nobles, elle a pu cumuler des charges religieuses et administratives.
Gageons que l’étude approfondie de sa dernière demeure nous livrera davantage d’informations à son sujet.
"(Celle qui est) connue du roi".
"Propriétaire foncier".
Très peu de choses semblent cependant nous être parvenues quant à son ascendance :
Les chercheurs n'auraient pas pu déchiffrer autre chose que le début de la nomenclature du père à savoir "Nef".
Des représentations féériques, celles d'un bonheur idyllique, cela pourraient être liées aux bienfaits dispensés par Hathor.
Cependant cette dernière demeure comporte bien peu de sculptures. Ce point est à noter car finalement cela est particulièrement rarissime si nous considérons l'époque considérée.
Aussi ...
Nous pouvons remarquer de très bellespeintures murales, aux qualités indéniables, parfaitement conservées.
Ainsi, nous pouvons y admirer notamment quelques scènes classiques :
Les dernières demeures relatives aux enfants ST63 ainsi que ST64 représentent certainement les premières du genre trouvées à Gebel el Silsileh.
Car ses deux petits êtres sont conservés avec des biens funéraires complets.
Les chercheurs découvrirent aussi des cryptes et des chambres pour adultes dans une nécropole de la 18e dynastie à Gebel el-Silsileh dans cette région d'Assouan.
Une manière de pouvoir pénétrer dans le monde
religieux,
comme celui des coutumes
funéraires,
sociales,
et économiques,
de l'Egypte ancienne au cours des Thoutmôsis.
Nous serions au sein de la prestigieuse 18e dynastie.
Cette thématique fait suite au fruit du travail des chercheurs du ministère égyptien des Antiquités ainsi que de l'université suédoise de Lund.
Depuis 2015 …
Cette équipe dirigée par Maria Nilsson et Jon Ward a découvert 69 tombes ! Pratiquement toutes visitées par des pillards et ce au sein même des dynasties pharaoniques.
Cette année …
Quatre nouvelles sépultures dont quatreintactes, d’enfants.
Aussi vous serez à même de rencontrerer le non moins légendaire netjerSobek, vous savez le crocodile !
Brooklyn museum.
Ce lieu ...
Il fut autrefois une carrière pendant la période Thoutmoside : nous serions entre 1 504 et 1 388 B.C.E.
Aménophis I (1 525 -1 504), Thoutmosis I (1 504 -1 492), Thoutmosis II (1 492 - 1 479),
Hatshepsout (1 479 - 1 458/57), Thoutmosis III (1 479 -1 425),
Aménophis II (1 428 - 1 397), Thoutmosis IV (1 397 - 1 388), Aménophis III (1 388 - 1 351/50),
Aménophis IV / Akhenaton (1 351 – 1 334).
L'étendue de l'Égypte ancienne à son apogée territoriale, la 18e dynastie.
Sous Thoutmôsis III aucun pharaon n'avait conquis tant de choses.
"Kheny" ...
"Khenou" : nous sommes au sein de l'époque pharaonique. Son origine me paraît du reste bien difficile à cerner : serait-ce fonction de cette cité, celle de la rive est ? De fait nos anciens lui donnèrent cette nomenclature d' "EAU PURE".
"La carrière" fut également sa dénomination à la période Gréco-Romaine. En fait, il y avaient bien des carrières au Gebel el-Silsileh fournissant en pierres les chantiers des temples et hypogées de la Haute-Égypte et ce à la période thoutmoside.
Gebel Silsileh avec sa très longue histoire, allant du paléolithique à l'époque Copte.
Que dire aussi de cette "Montagne de la Chaîne" : d'aucuns supputeraient même que cela puisse provenir de la période arabe. Une chaîne aurait été tendue au travers de l'Itérou et ce afin d'entraver la communication fluviale.
En tout cas, ce lieu comporte bien les deux rives du Nil, un endroit bien étroit pour notre Itérou qui est du reste entouré de majestueuses collines faites de grès :
Nous sommes alors aux alentours de 145 km au sud de la cité aux cents portes, Thèbes.
Et plus précisément à 65 km au nord d'Assouan.
...
Avec :
Sa nécropole pré-dynastique,
Et ses graffitis contemporains comportant des humains, des animaux, des bateaux,...
Quant à l'Ancien Empire, sur la rive ouest, peu de traces demeurent : souvenons-nous notamment de Pépy I.
Aussi au Moyen Empire nous pouvons y voir des voyageurs avec leurs caravanes ainsi que leurs graffiti.
Une mission archéologique Suédo-égyptienne (Université de Lund), dirigée par Dr. Maria Nilsson et John Ward. Une équipe en coopération avec l'inspection de Kom Ombo et d’Assouan dirigée par M. Abdel Menum (Assouan) et M. Ahmed Sayed (Kom Ombo).
Et donc, selon elle, ce n'est pas la première fois que des égyptologues trouvent de pareilles dernières demeures sur ce légendaire site.
Il serait entouré également de matières organiques, certainement issues du bois qui devait composer le cercueil car les termites auraient fait leurs œuvres.
Un cerceuil qui devait du reste posséder un couvercle en grès très mal conservé, fait quant à lui de grès.
→ Une autre dernière demeure ...
Celui de cet enfant âgé de 6 à 9 ans, dansun cercueil en bois là aussi.
Probablement devait-il avoir entre 5 à 8 huit ans ! En fait les deuxième et troisième progénitures étaient accompagnées de moult artefacts.
La tête vers l'est …
Sa direction faciale semble avoir évolué probablement suite à l’inhumation ultérieur du ST63.
Le lin semble enveloppé le petit corps, lui-même posé sur des nattes de roseaux.
Il était accompagné de pièces funéraires :
Des amulettes,
Des bijoux comme des bracelets en bronze, trois scarabées dont l'un contenait le nom royal de Thoutmosis III (Menkhéperrê)
(La manifestation de Râ demeure) ou (Stable est la manifestation de Râ) mn-xpr-ra ),
Elle se démarque tout particulièrement vis-à-vis des autres petits êtres du fait qu'elle contient un squelette. Nonobstant, c'est celui d'un enfant âgé de5 à 8 ans.
Inhumé certes mais "visiblement sans aucun soin". (?)
En fait ...
Il était recouvert de débris de carrière.
Il présentait également des signes de maladie et même de blessures ! Tout ceci pourrait, à première vue, indiquer l'existence d'une hiérarchie sociale.
ne semble plus mystérieuse que cette pyramide de Khéops.
Comment nourrir la rêverie des amoureux de l’Égypte antique ?
La pyramide est ainsi :
Sondée,
Analysée,
Radiographiée,
Auscultée,
Interprétée,
Polémiquée,
... Mystérieuse, pourquoi Khéops ordonna-t-il la construction du système le plus complexe de toutes les pyramides ?
Peu de "spécialiste" s’aventurerait à expliquer avec certitude ce qui poussa pharaon à faire ériger un édifice d’une telle complexité : au-dessus du sol … ! Souvenez-vous de la pyramide rhomboïdale, de Dahchour, ..., elles ont leurs chambres au niveau du sol. D’aucuns suggèrent alors que les spécificités de Khéops seraient issues d'une succession de changements et ce au cours de l’élaboration des plans.
Nonobstant …
Mark Lehner s’appuyant sur des observations supputa que les plans furent bien élaborés avant le début de la construction. Ce qui à mon sens rend plus énigmatique encore le mystère de l’horizon de Khéops.
→ Siècle après siècle, pourquoi les pyramides nous fascinent-elles toujours autant ?
→ D’où viennent les légendes des chambres secrètes dissimulées au cœur de la seule des sept merveilles du monde encore debout ?
→ Y découvrira-t-on un jour une chambre abritant le trésor du pharaon Khéops ? Aussi, selonHérodote, Khéops reposerait depuis l'an 4 776 B.C.E à 58 m et ce au-dessous de la base même de sa propre pyramide.
Cependant, nous ne sommes sûrs de rien.
Voyez Franck Monnier ...
Aussi voyez plutôt :
Les quatre faces de l'horizon de Khéops ne sont pas parfaitement planes. Souvenez-vous de ce léger angle vers l’intérieur, il transforme ainsi sa base en polygone concave à huit faces.
Nous devons cette remarque au français André Pochan (Un physicien et un mathématicien français, passionné d'égyptologie.), nous sommes alors en 1934. Il étudia presque exclusivement les pyramides, nonobstant il faut reconnaître qu'il fut particulièrement critiqué par Jean-Philippe Lauer.Nous ne sommes sûr de rien au point que les chercheurs semblent ne pas comprendre les raisons des angles sur cette pyramide alors qu’ils sont absents sur ses voisines, mais leur régularité suggère quand même qu’ils sont certainement volontaires.
Nous ne sommes sûrs de rien.
Quelle serait donc véritablement les teneurs
de cette "curieuse découverte" ?
Nous sommes au sein de la pyramide de Kheops
avec les chercheurs de la mission ScanPyramids
lancée en fin d’année 2015.
Des rayons cosmiques
afin de sonder cet ouvrage monumental.
Ainsi le ScanPyramids Big Void (SP-BV) serait visiblement :
Entre 60 et 70 mètres de hauteur : aussi souvenez-vous ce monument fait 139m de hauteur et 230m en largeur, juste finalement au-dessus de la Grande Galerie. Nous sommes comme vous savez sur le plateau de Guizèh, aujourd'hui en très proche banlieue du Caire.
139 m sur les 146,58 mètres d’origine !
Une "cavité" située à environ 40 mètres de la chambre de la reine.
Il aurait des caractéristiques similaires à celles de la grande galerie, comme vous savez, la plus grande salle connue de la pyramide.
"Un vase clos".
"Le "grand vide" est totalement clos,
rien n’a été touché depuis la construction de la pyramide.
C’est une découverte très enthousiasmante"
Kunihiro Morishima, de l’Université de Nagoya au Japon, partenaire de la mission ScanPyramids.
Une cavité "aussi grande qu’un avion de 200 places en plein cœur de la pyramide".
En dehors des salles ouvertes aujourd'hui au public ...
D’autres demeures uniquement accessibles aux archéologues ainsi bien sûr qu'aux chercheurs.
Aussi ...
Depuis 2015 ...
ScanPyramids a fait des découvertes passionnantes (Deux autres artefacts : sur l’arête nord-est du monument ainsi que derrière sa face Nord) ! Cette expérience en réalité virtuelle, à savoir ScanPyramidsVR, permet aussi de découvrir non seulement les salles cachées au public mais aussi les dernières découvertes sur la plus célèbre pyramide d’Egypte.
Des équipes japonaise ...
Et française ont effectué des sondages pour la mission scientifique ScanPyramids avec la Faculté des Ingénieurs de l’Université du Caire et l’Institut français HIP (Heritage, Innovation, Preservation).
La présence d'une énorme cavité aurait été interprétée par les scientifiques faisant suite à des technologies ultra-modernes et non invasives i.e. non destructives en vérité : pas moins de 30 mètres de long, pouvant même être d'origine puisqu'il serait clos.
Comment les scientifiques ont-ils procédé ?
Quelles furent les paramètres afin de calibrer les instruments ?
Les scientifiques ont-ils éliminé certains d'entre eux (Paramètres) ? Et comment l'ont-ils décidé d'ailleurs ?
Quel serait l'incidence de telles décisions sur les modélisations finales ?
Le point
Les chercheurs viennent donc de détecter la présence d'une cavité "invisible jusqu'à ce jour".
Cachée derrière la face nord ...
De plus, elle se situerait dans la zone où quatre chevrons visibles surplombent le couloir descendant.
Notons aussi que les chevrons de la véritable entrée étaient invisibles à l'origine, cachés derrière une couche de blocs. Les pierres furent cependant démantelées au cours des siècles. Des blocs que nous savons fort utiles puisque nous connaissons les chevrons en deux endroits : au-dessus des chambres du roi et de la reine ...
Il ne peut en aucun cas être la conséquence d'un éboulement toujours imaginable. C'est bien un espace dédié à quelque chose qui échappe encore aux spécialistes ...
"S'il s'agissait d'un chaos de gravats,
les mesures indiqueraient une faible sous-densité un peu partout.
Or là, nous avons une forte sous–densité locale"
Sébastien Procureur, responsable scientifique à l'Irfu / CEA.
Alors à quoi pouvait bien servir ce grand vide ?
Les chercheurs qui effectuèrent les différentes recherches refusent de "parler" de pièce secrète, de chambre cachée, ...
En plus de cela ils ne sont pas certains de la nature de ce vide.
S'agit-il d'une pièce ?
De plusieurs ?
D'un grand couloir ?
D'une autre Grande Galerie ?
... ? Cette mystérieuse cavité demeure pour l’heure inaccessible.
"Nous ne pouvons pas savoir
si le vide contient des artefacts
car ils seraient trop petits pour être détectés par ce type d’imagerie"
Kunihiro Morishima, coauteur de l’étude.
Et comment pénétrer dans cet espace situé en hauteur, visiblement profondément scellé, très difficile d'accès ?
Ainsi nous pouvons parfaitement bien imaginer que découvrir la dernière demeure de pharaon constituerait l'une des plus grandes découvertes de l'égyptologie moderne. Peut-être est-ce aussi là, en partie du moins, l'explication de cet engouement, de cet enthousiasme, des fantasmes aussi, de cette sensibilité exarcerbée parfois, de certaines carrières et/ou égos également, ..., des polémiques ?
Y aurait-il une particularité sur le fait que les constructeurs de la grande pyramide n'ont mentionné nulle part cette cavité ?
Une cavité détectée au-dessus de la Grande Galerie ...
Sa présence même, aurait-elle pu jouer sur les interprétations des imageries ? Et ce en créant une sorte d'image fantôme ? Je présume que les chercheurs ont entre eux soulevé cette "possibilité, cependant il aurait été bien judicieux de l'énoncer afin de valider davantage encore leur interprétation quant à l'existence de ce vide.
La découverte d'une cavité dans la pyramide de Kheops énoncée ...
L'équipe scientifique du projet a été critiquée, 2 jours suivant l'annonce. Critiques en premier lieu quant au non-respect du processus scientifique avant sa publication.
Cependant bien d'autres tirades semblent avoir également été exprimées, peut-être est-ce cela le prix du débat ? Du moment que cela reste dans le respect d'autrui ...
Aussi, n'oubliez jamais ...
Nous devons prendre certaines précautions bien inhérentes à ce genre de travaux éminemment sensibles ! Bien évidemment respectons tous les avis, même ceux des détracteurs, lisez-les avec attention.
Evitons cependant de rentrer dans certains conflits compétitifs.
Votre libre arbitre est là pour vous guider. Aussi continuez votre chemin et gardez cette envie d'apprendre et de comprendre cette merveilleuse civilisation.
Les "polémiques" sont toujours possibles, présentes, à venir puisque déjà le mot "découverte" l'a engendré. Cependant elles ne doivent surtout pas influencer la poursuite des recherches. Ces dernières doivent continuer à respecter une certaine déontologie scientifique quant aux méthodes employées.
→ L’archéologue Zahi Hawass ...
Il semble affirmer que cette immense cavité était déjà connue.
Ainsi Howard Middleton Jones et son défunt équipier décédé avaient détecté cette cavité au-dessus de la grande galerie et ce à partir de 1999. Ils l'auraient ainsi mentionné à Zahi Hawass "tout en lui expliquant la façon d'y accéder".
→ Dormion parla de cette supposée et probable cavité dans un de ses livres publié en 1986.
Ainsi il fut déposé à cette époque une autorisation, refusée du reste par Havass, et ce afin de permettre de disposer d'une fibre optique dans la Chambre de la Reine.
→ Desroches-Noblecourt ...
Dans son enseignement à l'école du Louvre elle parlait d'une théorie, l'existence d'une cavité...
→ Le chef du comité scientifique supervisant ScanPyramids ...
"La pyramide est pleine de vides
et
cela ne signifie pas qu’il y ait une chambre secrète
ou
une découverte."
"Il y a énormément de théories
sur l'existence d'éventuelles chambres secrètes dans la pyramide.
Si nous les cumulions toutes,
nous obtiendrions du gruyère !"
Mehdi Tayoubi.
"Mais aucune d'entre elles
ne prédisait l'existence de quelque chose d'aussi grand"
Mehdi Tayoubi.
→ Le chef du conseil gouvernemental en charge des antiquités ...
"Le projet doit procéder de façon scientifique
qui suit les
étapes de la recherche scientifique
et
ses discussions,
avant publication."
"Therefore,
the ministry sees that the ScanPyramid team should not rushed
to publish their findings in media at that stage of their research
because
it requires more research
and
it is to early to say that there was a new discovery.
...
they should not use propagandist terms such as
“new discovery;” and “a giant void.”
More researches and studies
are required in an attempt to know the secrets of this unique great monument."
Nous sommes le samedi 9 septembre avec une annonce du ministère des Antiquités.
Archéologues égyptiens dirigés par Mostafa Waziri, chef du département de Louxor ...
Une découverte modeste ...
Intéressante ...
Présentée à la manière d'un grand évènement. Kemet l'ancienne et l'Egypte moderne des grands chantiers méritent bien cela.
L’Égypte ancienne ...
Une ère adulée et pas seulement par les archéologues ! Serait-ce le fait des nombreuses découvertes.
Ainsi, la thématique d'aujourd’hui traite-elle d'un "nouveau" hypogée, celui d'un artisan d'excellence puisque nous serions en présence d'une dernière demeure relative à un orfèvre du netjer Amon : déité majeure comme vous savez quant à de la mythologie égyptienne.
Le quotidien d'antan
au
Nouvel Empire !
Un évènement que nous attendions depuis quelques temps maintenant.
Ainsi…
Après 5 mois de fouilles sous les rayons de Râ ...
Au cours d’une conférence de presse, le Dr Mostafa Waziry annonça une formidable découverte, celle d’une dernière demeure ! Nous étions alors le 18 avril 2017.
Et depuis, nous n'avions véritablement plus rien de concret.
Se pourrait-il, a dream peut-être, que cela soit la légendaire Néfertiti, sujet à moult articles médiatiques depuis quelques temps ?
… ?
L'orfèvre d'Amon,
Amenemhat,
près de Louxor.
Orfèvre ...
Cela ne fut pas seulement un travail, c'était probablement toute sa vie comme le fait de l'avoir consacrée à la divinité Amon.
Amon ...
Une divinité devenue majeur et ce tout particulièrement dans la belle cité aux cents portes, Ouaset, Niwt-Imn, la puissante.
Cette découverte a été faite par une mission archéologique égyptienne dirigée par Mostafa Waziri, c'est ainsi que le ministère égyptien des Antiquités l'a annoncé.
Nous sommes bien dans un domaine de pure archéologie.
Pas de trésor en perspectif, si cela est quand même la découverte d'une tranche de la mémoire de l'humanité et ce à travers l'inhumation probable d'une famille entière.
Ces vestiges sont situés dans la nécropole de Draa Aboul Naga, datant du Nouvel Empire, et plus précisément au XVe siècle B.C.E. Cette révélation a aussi le mérite d’accentuer la connaissance de cette nécropole et de sortir de l’oubli un nouveau fonctionnaire.
Vous pouvez accéder au chapitre en cliquant directement sur le titre de ce dernier !
Des archéologues ont bien découvert une dernière demeure.
Celle d'un orfèvre qui consacrait son oeuvre, son art, son travail au netjer Amon ! Mais pas seulement lui puisque les chercheurs ont également trouvé des momies d'une femme ainsi que de deux enfants : une famille en perspective.
Nous sommes au sein de la rive ouest du Nil, à Louxor. Et comme vous savez ce site est parfaitement réputé pour ses dernières demeures et ses temples.
114 hypogées pour la majorité érigés dans la roche. Cette nécropole appartient à la Vallée des nobles, où étaient enterrés les notables proches des pharaons, près de la Vallée des Rois, sur la rive gauche du Nil.
→ Remarquons par exemple la double dernière demeure d'Amenhotep I (1 524 - 1 504) ainsi que son "épouse supposée" Ahmès Néfertari : certains égyptologues semblent mettre en doute ...
Un lieu connu comme une nécropole de la famille royale mais également des hauts fonctionnaires des 17 et 18e dynasties. Cependant les sépultures les plus anciennes remontent à la 11e dynastie. Notons au passage qu’elles furent simplement réutilisées et ceci fréquemment en des temps bien postérieurs.
Elles montrent parfaitement, et heureusement du reste, que nous sommes encore loin de tout savoir et de tout comprendre, cela nous obligent avec ce plaisir incommensurable à remettre en question nos connaissances et surtout du reste nos interprétations.
Et si nous continuons dans cette thématique ...
Cette façon de penser et d'aborder les choses ...
Alors il est fort probable que le thème d'aujourd'hui devra bien évoluer dans les années à venir.
Nonobstant ...
Les faits, les résultats, eux, sont bien là et ne changent pas. Fascinant ...
Aussi souvenez-vous qu'Amenemhat fut une nomenclature pouvant fort bien être l'objet des deux sexes.
Il aurait ainsi vécu il y a environ 3 500 ans.
Orfèvre royal de son état, il consacra visiblement ses activités au netjer Amon.
Nous serions donc en présence d’un certain Amenemhat ainsi que de sa concubinedénommée Mehi. Nonobstant, sa momie n'a pas été, officiellement du moins, véritablement identifiée en tant que telle ! Cependant il n'y aurait pas de doute quant à l'identité du propriétaire de cette dernière demeure.
Amenemhat, une nomenclature qui fut celle également de plusieurs pharaons comme vous savez (Amenemhat I_ fondateur de la 12e dynastie_ à VII_ce dernier bien peu connu finalement fut quant à lui de la 13e dynastie) et cela pourrait être traduit littéralement par :
"Sous la responsabilité d'Amon".
Les chercheurs auraient trouvé au sein de leur dernière demeure une statue, celle d’Amenemhat, assis sur une chaise et ce à côté de sa femme. Cette dernière portait une robe, bien longue d'ailleurs, ainsi qu’une perruque.
De plus ...
Un portrait de leur fils a été peint entre eux deux, inconnu visiblement pour le moment.
Nous serions durant la fameuse 18e dynastie, celle que connue notamment les hauts personnages que furent Néfertiti, Tut Ankh Amon qu'inévitablement vous connaissez bien, ...
Et plus précisément nous serions entre les 16e et 11e siècles B.C.E selon les annonces du ministère des Antiquités.
La chapelle et son entrée semblent bien localisées au sein d'une cour datée quant à elle du Moyen Empire.
Nous sommes alors au niveau de Kampp 150.
A cette chapelle les archéologues trouvèrent deux puits funéraires :
→ L'un à 7 mètres de profondeur, à droite, destiné au défunt et à sa femme.
→ Partant de-là nous voici au sein d'une chambre funéraire contenant des fragments de momies, des sarcophages, des ouchebtis.
→ L'autre puits nous conduit à une autre salle contenant quant à elles des momies datées visiblement des 21e et 22e dynasties.
Nous sommes de fait en présence :
→ D'une petite pièce carrée, au niveau du sol.
Les chercheurs découvrirent ainsi une niche dont un morceau du décor reste encore visible aujourd'hui. Les fresques nous sont décrites comme ayant été d'une qualité certaine.
Aussi les chercheurs supputent-ils que cela pourrait s'expliquer par la proximité du souverain contemporain du défunt.
→ Une chambre funéraire.
Elle se situe à huit mètres au-dessous de la pièce d' "entrée" et contenait visiblement quatre momies.
→Au bout d'un couloir, menant à une salle, une niche funéraire, y séjournait visiblement :
La momie d'une femme.
Et selon Madame Chérine Ahmed Chawqi, une égyptologue et spécialiste des os, elle en aurait conclu que la défunte avait 50 ans à l'heure de la "rupture".
Nonobstant des doutes semblent avoir été émis quant à cette femme ! Les inscriptions mentionnent cependant un certain titre, celui de "dame de la maison".
Et de "ses" (?) deux enfants.
Cependant il nous faut rester prudent :
"Nous ne sommes pas sûrs
que ces momies soient
de la famille d’Amenemhat"
Mostafa Waziri.
"De toute évidence
la tombe a été réutilisée dans les temps anciens.
C'est probablement pourquoi leur tête est découverte"
Mostafa Waziri.
"Mais nous sommes extrêmement heureux de toute façon,
a-t-il ajouté,
car cela signifie que nous trouverons plus d’autres tombes dans cette région".
Les doutes quant à l'identification même du corps du propriétaire serait le fait que cette dernière demeure fut, comme bien souvent du reste, réutilisée plus tard et ce durant les 21e et 22e dynasties.
De plus ...
Une cinquantaine de "cônes funéraires" ont été visiblement découverts. Ils sont gravés avec le titre et la nomenclature du défunt. Ainsi sur les 50 cônes seulement dix auraient été liés à un corps.
Selon les chercheurs les 40 restants appartiendraient à quatre autres personnes qui, elles, ne seraient pas encore trouvées.
Ne tenez pas compte du côté sensationnel de cette "découverte" ...
Vous savez bien, nous serions dans ce cadre de la survivance quant à cette industrie essentielle, vitale même pour le "bien-être" de ce peuple d'Egypte moderne (Nous parlons quand même de cent millions d'habitants.).
Ne tenez pas compte non plus de ce que d'aucuns pourraient classifier de modeste vis-à-vis de cette "révélation" ...
Rien...
Aucun savoir...
Aucun décèlement...
Aucune exploration... Rien ne peut être considéré comme médiocre, insignifiant, maigre, modique, ... Une métaphore afin d'illustrée possiblement cette façon de concevoir les choses : l'Histoire est érigée de briques. Aussi petites soient-elles, elles n'en demeurent pas moins cruciales pour la compréhension de l'ensemble.
Aussi, les fouilles sont bien loin d'être terminées !
De plus...
Vous l'aurez bien compris, il nous reste beaucoup de points à éclaircir !
Alors à suivre...
Newly discovered tomb with several mummies.
Tomb Kampp -390 in Dra Abu El Naga, West Bank, Luxor.
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