Féminin, tout simplement, l'OUDJAT
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ...
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Pinceau en fibre de palme. 1 390 à 1 352 B.C.E, Thèbes. 18e dynastie, Amenhotep III.Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Je connais les secrets des hiéroglyphes ...Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Mitri a vécu pendant la cinquième dynastie et a servi son pharaon.
Peut-être Unas, vers 2400 B.C.E. Il a construit une grande tombe à l'angle sud-est de l'enceinte de la pyramide échelonnée, près de la chaussée du roi Unas. Le sculpteur a entouré les yeux de cuivre et a utilisé de beaux cristaux de roche pour donner à Mitri un regard calme de gris profond. Les cristaux gris sont souvent bleus sur les photos. C'est un effet frappant §Tableau d'écriture d'un apprenti scribe.
Première période intermédiaire Dynastie 11 ou avant, environ 2 030 B.C.E. Il ressort clairement des hiéroglyphes maladroitement formés et de leur espacement inégal que c'est l'œuvre d'un apprenti scribe qui pratiquait son écriture. Le tableau d'écriture pourrait être utilisé encore et encore en grattant ou en essuyant l'encre et en ajoutant une nouvelle couche de blanc. Un autre tableau d'écriture de la collection montre les corrections faites à l'encre. Le Met New York.Marie-Thé Perardelle.
Vallée des Nobles, TT69, tohypogée de Menna, "Scribe des champs du Seigneur du Double-Pays" Les scribes contrôlent tout !Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
L’ensemble représente le hiéroglyphe du mot « scribe »Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Hiéroglyphe du groupe Y symbolisant la palette du scribe (et par extension, celui-ci).https://www.letemps.ch/culture/premiere-phrase-entiere-decouverte-lun-plus-anciens-alphabets-connus-parle-poux
La première phrase entière découverte dans l’un des plus anciens alphabets connus parle de poux ! «Que cette défense éradique les poux des cheveux et de la barbe»: l’inscription en cananéen, qui figure sur un peigne découvert en Israël en 2016, remonte à plus de 3700 ansSechat en hiéroglyphe
Sechat ...
ânkh ...
"Vivre" …
"La vie" …
"Soyez au service de la vie" ...
Cercueil de Pouia en bois stuqué.
Peint au Nouvel Empire, 18e dynastie.
Cheikh abd el-qourna.
"Celui qui est en bonne santé", l'Oudjat lié à l'idée d'intégrité. En Égypte ancienne.
"Vivre"…
"La vie"… https://www.aime-jeanclaude-free.com/
Voici l'hypogée TT3 de Pachedu ...
Pached.
Nous sommes au cours du règne de Ramsès II, la 19e dynastie.
La montagne à l'oeil oudjat.
Irt Oudjât.
Osiris sur son trône.
Nous sommes bien au sommet d'un sentier.
Et cela après avoir monté au moins une centaine de marches.
Elles vous mèneront dans ce bel hypogée, à savoir celui de Pashedu ...
Vous y admirerez évidement une vue fantastique.
Et particulièrement celle relative aux contours du légendaire village des artisans c'est à dire celui de Deir el-Médineh.
Ainsi l'hypogée de Pashedu est célèbre grâce à ses remarquables peintures.
Là ...
Vous accéderez à cette chambre funéraire en utilisant un étroit passage qui du reste est bien orné, de chaque côté, d’un chacal. Il devait symboliser comme vous le savez d'Anubis assis sur un naos.
Émerveillé ...
Vous ne manquerez certainement pas de l'être en admirant ce petit hypogée dont d'ailleurs le plafond est voûté.
On y verra alors des rangés en quelque sorte de netjerou et cela en position assis.
Ainsi, au fond ...
Le netjer Osiris trône.
Près d'une montagne, de couleur rosée, que vous pouvez du reste parfaitement voir sur cette photo.
Alors vous n'aurez certainement pas manqué d'observer également ce très bel œil d'Horus, notre thématique d'aujourd'hui, c'est à dire l'œil oudjat.
Regardez, il est muni d'un bras.
Bien tendu en signe d'adoration, me semble-t-il, quant au défunt bien évidemment.
Nous voici maintenant au sein d'une représentation d'aiguade sous un plamier-doum ...
Il vous sera donc donné de voir Pashedu en position agenouillée, le propriétaire des lieux, et cela au sein d'une des parois ...
Proche du passage ...
De plus, vous le verrez présenter, proche d'un palmier-Doum, un des lieux de désaltération de notre défunt.
L'eau est ici symbolisée par des lignes verticales brisées que vous pouvez voir discrètement représenté tout en bas de cette photo.
Du reste cette scène aux pieds d'un palmier-doum peut être également observée au sein d'autres hypogées de Deir el-Médineh :
Au dessus un faucon ...
Un autre symbole est représenté ici, il s'agit de Ptah, qui du reste semble être vénéré par le fils du défunt.
Une beauté ...
La femme du défunt est aussi représentée. Elle a les bras levés, en présence visiblement de leur fils et fille.
Inside the Tomb of Pashedu.
19th Dynasty.
Deir el-Medina ...
Plan de l'article ...
→ L'Oudjat …
→ Ainsi l'Horus et l'Oudjat ...
→ Cela servait-il à inculquer quelques valeurs morales ?
→ L'œil fardé, celui que Seth aurait arraché à Horus.
→ Un véritable symbole.
→ Quant à cette amulette protectrice du défunt ...
→ Anthropogonie ...
→ Un autre paradigme ...
Œil protecteur du netjer faucon Horus.
Irt Oudjat.
"œil préservé".
L'œil d'Horus.
L'œil Oudjat fut probablement un mélange, celui :
L'œil humain fardé ...
Souligné de deux marques colorées caractéristiques du faucon pèlerin.
L'Oudjat …
Un symbole des plus importants quant à cette mythologie Égyptienne. Notons au passage, qu’il semblerait bien que de nos jours, il soit encore présent au sein des foyers.
Cela peut être vu comme ayant été la victoire du "bien" contre le "mal". Cela ne devait-il pas finalement signifier aussi "l'œil sain" ?
Peint ...
Sculpté ...
Figuré sous cette forme d'amulette, l'œil Oudjat devait être l'un des plus célèbres symboles Égyptiens.
Afin d'appréhender :
Ainsi :
L'œil perdu,
Retrouvé sain,
Il fut visiblement assimilé à l'astre nocturne. Ce dernier semblait bien croitre et s'estomper selon un cycle de 28 jours. Alors, il devint donc le symbole de la pleine lune.
Ainsi l'Horus et l'Oudjat ...
Tout commença finalement par :
→ Osiris : l'ainé et donc, il devait succéder à son père,
→ Isis : sa sœur, et son épouse, elle devint ainsi reine,
→ Seth,
→ ...
Osiris ...
Souverain ...
Petit à petit ...
Seth devint si jaloux vis-à-vis de son frère qu’il décida de le tuer. Ceci pourrait faire l'objet d'une autre thématique.
De fait Horus ...
Fils d'Isis et d'Osiris, voulu venger la mort de son père.
Il y eu en quelque sorte un duel.
Et ce dernier se déroula alors dans le désert de Ker-Aha, à l'est de la ville actuelle du Caire. Ce fut ainsi, qu'au cours de cette mémorable adversité, Seth arracha à Horus son œil gauche. Un symbole que cette bataille. Représente-t-elle cette dualité entre le jour et la nuit ?
Cependant Horus riposta. Ce qui provoqua quant à Seth la perte de son sexe, ou d'une jambe selon la version.
Et si on pouvait finalement en tirer une morale, ne serait-ce point le fait que la trahison et la méchanceté resteront toujours stériles ?
Horus récupéra de fait son œil.
L'offrit alors à Osiris qui recouvrit ainsi la vue. La piété filiale fut finalement ainsi représentée.
Cela conduisit l'assemblée des netjerou et cela au terme d'un procès, de se prononcer en faveur d'Horus.
Seth fut alors définitivement battu.
Ce qui conduisit logiquement à reconnaît Horus comme le nouveau souverain.
Netjer des Hommes, Horus régna donc sur la Terre.
Alors qu'Osiris devint lui le souverain du royaume souterrain, celui évidemment de l'au-delà.
Temple d'Horus ...
Voyez le faucon ...
Il est toujours en-dessous de l'Oudjat.
Horus ...
Il fut bien l’ancêtre de tous les pharaons.
Son nom est toujours présent au niveau des cartouches ...
Cela servait-il à inculquer quelques valeurs morales ?
Des valeurs morales qui furent, peut être, exigées à cette époque … (?)
Alors ...
Soliloque :
Devons-nous vraiment en tirer quelques leçons quant à ce mythe d'Horus ?
Ne sommes nous pas "parasités" par nos propres préjugés, cultures, ..., ce qui ferait en quelque sorte que l'on y verrait quelques morales à y glaner ?
Nos anciens en écoutant les narrations comme celles du mythe d'Horus pouvaient-ils vraiment apprendre à différencier :
Le généreux du méchant ?
Osiris contre Seth ?
Quant à Osiris ressuscité et Horus à la tête de son royaume...
Seth condamné,
Seth vaincu,
Seth dégradé...
Isis partant d'ailleurs à la recherche de son mari et cela vraiment à deux reprises...
De protéger ceux que nous aimons ?
De l’épouse, protéger, enfanter,
De l’époux, procréer,
Des enfants, don de l’œil d’Horus à son père.
De se venger de l’injustice pour rentrer dans son bon droit, duel entre Seth et Horus.
Tout cela rentrait-il vraiment dans une sorte d'éducation du peuple ?
L'œil fardé, celui que Seth aurait arraché à Horus.
Il fut réduit en six morceaux comme vous le savez.
Ainsi chacune des six parties, de cet œil d'Horus, devait vraiment constituer une fraction :
(Un développement qui se fera au cours de cette thématique ... )
Cette partition ...
Fut me semble-t-il considérée comme une manière de mesurer les volumes ...
Ainsi...
Hekat = 5 l.
Cela fut une unité de mesure de base et devait correspondre finalement à la partie de l'œil montant le nez et en représentait la moitié.
Puis comme vous le savez ...
L'œil d'Horus aurait alors été reconstitué par Thot lui-même après bien sûr avoir récupéré les 5 morceaux au moyen d'un filet. Ceci explique pourquoi il dû avoir recourt à la magie afin de reconstituer le 6e morceau.
Un véritable symbole.
Il était bien le porteur de lumière, celle-là même qui chassait les ténèbres.
Mais aussi il devait être un symbole :
L'œil n'était jamais fermé ! Peut être parce qu'il semblait voyager sur la barque du jour comme celle de la nuit ?
L'œil d'Horus ...
Toujours cet "Œil intact" ... D'ailleurs son hiéroglyphe peut être traduit par "entier".
Il devait de fait symboliser :
Quant à cette amulette protectrice du défunt ...
Au niveau des hypogées ...
Elle devait bien permettre finalement au défunt de voir le monde des vivants.
Une amulette considérée véritablement à la manière d'un porte bonheur, au ressenti, au pouvoir si intense qu'elle perdura à travers les millénaires. Ce qui du reste pourrait en partie expliquer, qu'aujourd'hui encore, il nous arrive d'en découvrir au sein des foyers.
Portée en pendentif ...
Elle devait donc protéger des blessures, des maladies, ...
Ainsi la vit-on, cette amulette, également sur les proues des bateaux et imaginez du peu puisque elle devait permettre :
Elle fut probablement une des plus puissantes amulettes et ceci avec :
Une anthropogonie ...
Une belle romance peut être ...
Ainsi ...
Râ n'aurait-il pas et cela grâce à son fameux œil, conçu l'homme ?
Son œil pleura ...
Ce furent bien ses larmes dites "Remi".
En touchant le sol elles devinrent dès lors des Hommes.
Souvenez-vous ...
Comme les fameuses larmes furent en quelque sorte un des modes de création quant au démiurge.
Ainsi, dans la légende étiologique latopolite de l’émergence de l’Humanité, le mot même de " larmes" à savoir "remi" assone avec le mot "homme" c'est à dire "remetj".
Voici donc Horus qui pleure.
Un autre paradigme ...
On vit que l'Oudjat s'en fut allé …
Errant tout simplement ...
Ce fut certainement ainsi que le netjer Râ envoya Thot, vous savez le netjer lunaire, le chercher.
À son retour …
L'œil d'Horus se serait rendu compte qu'un autre avait prit sa place. La nature n'aimant pas le vide.
Impétueux !
Afin de calmer l'œil d'Horus qui devait être bien légitimement et logiquement furieux.
Râ l'aurait placé sous la forme d'un uraeus.
Netjer cobra ou Ouadjet, ..., sur son front, d'où il pouvait gouverner le monde entier.
Les pharaons porteront ainsi l'uraeus afin d'établir leur filiation avec le netjer solaire.
Le motif de cet œil d'Horus ...
Il sera bien le symbole persistant du créateur.
Atoum (Râ - Horus) …
Le fils d'Osiris et d'Isis …
Il représentera ainsi le pouvoir :
Rapporter l'œil au créateur permettait alors :
Souvenez-vous, le souverain avait cette obligation essentielle, celle d’empêcher la terre de sombrer dans le chaos.
Parmi le trésor de Sheshonq II ...
Alors, à suivre ...
J'espère que vous avez pris autant de plaisir à lire mes textes que j'en ai eu à vous les écrire !
Irt oudjat
"œil préservé"
L’œil d'Horus.
Amulette de faïence.
Nouvel Empire.
Afin d'en connaître davantage, je vous invite à consulter :
Collection "Passion de l'Egypte" Editions Atlas 2003
Dictionnaire de la Civilisation Égyptienne - Rachet Guy - Larousse
J.P Allen, Middle Egyptian, Cambridge University Press (2004), p. 102
A. Gardiner, Egyptian Grammar, being an Introduction to the Study of Hieroglyphs, 3rd Edition, Oxford, 1973.
Histoire Universelle Des Chiffres de Georges IFRAH, Le Monde des Chiffres 1997
B. Mathieu, "Les hommes de larmes : à propos d’un jeu de mots mythique dans les textes de l’ancienne Égypte", Hommages à François Daumas, OrMonsp 3, Montpellier, 1986, p. 499-509.
Wikipedia
Aphorisme ...
Ceci pour autoriser et provoquer d'autres pensées !
Aucune prétention...
Ne prétend pas tout dire ...
"Nombreux sont ceux
Qui veulent apprendre,
Rares sont ceux
Qui acceptent d'écouter."
Max Guilmot.