Pharaoh Akhenaten and Nefertiti.
Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ...
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Pinceau en fibre de palme. 1 390 à 1 352 B.C.E, Thèbes. 18e dynastie, Amenhotep III.Laurence Durand
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Le verbe sesh peut être traduit synthétiquement par "tracer". La forme nominale sesh désignait aussi le scribe, celui qui écrit. L’artiste dessinateur était alors dénommé sesh-kedout, que l’on traduit maintenant par "scribe des contours" ou "scribe des formes". Au temps des pharaons l’image entretenait un lien étroit avec l’écriture dans sa fonction et dans sa forme. Faut-il penser pour autant que tous les dessinateurs d’alors savaient écrire et que tous les scribes savaient dessiner ?L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »L’un des médecins les plus célèbres de l’Égypte ancienne.
"Ni–Ankh Ra" … Dans l’ancien Empire, il est le médecin en chef de la cour, qui est informé des secrets quotidiens du roi. Il est représenté assis au sol avec sa jambe gauche érigée et sa main droite attachée à son pied gauche dans une position inhabituelle, portant un petit kilt et une perruque. Cette statue est sculptée à partir de calcaire, sixième dynastie, l'ère de l'Ancien Royaume : « Les Médecins dans l’Égypte ancienne : Tamer Ahmed Abdel Fattah »Fabien Sennedjem Dessaux à Louvre Lens le 10122022
Je connais les secrets des hiéroglyphes ...Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Qui était réellement BOUTEHAMON, scribe de l'Ancienne Égypte ?
Il s'agit d'un personnage très connu de la fin de la 20e et du début de la 21e dynastie, période charnière connue sous le nom d'"Ère de la renaissance". Son nom est inscrit à plusieurs reprises à Medinet Habu. Afin de renflouer les caisses de l'État, ce scribe de haut rang, qui était censé protéger les tombeaux de la Vallée des rois contre les pillards, aurait eu en vérité pour mission de voler des objets de valeur dans les hypogées d'anciens pharaons, dont celles des Ramsès !Mitri a vécu pendant la cinquième dynastie et a servi son pharaon.
Peut-être Unas, vers 2400 B.C.E. Il a construit une grande tombe à l'angle sud-est de l'enceinte de la pyramide échelonnée, près de la chaussée du roi Unas. Le sculpteur a entouré les yeux de cuivre et a utilisé de beaux cristaux de roche pour donner à Mitri un regard calme de gris profond. Les cristaux gris sont souvent bleus sur les photos. C'est un effet frappant §Tableau d'écriture d'un apprenti scribe.
Première période intermédiaire Dynastie 11 ou avant, environ 2 030 B.C.E. Il ressort clairement des hiéroglyphes maladroitement formés et de leur espacement inégal que c'est l'œuvre d'un apprenti scribe qui pratiquait son écriture. Le tableau d'écriture pourrait être utilisé encore et encore en grattant ou en essuyant l'encre et en ajoutant une nouvelle couche de blanc. Un autre tableau d'écriture de la collection montre les corrections faites à l'encre. Le Met New York.Marie-Thé Perardelle.
Vallée des Nobles, TT69, tohypogée de Menna, "Scribe des champs du Seigneur du Double-Pays" Les scribes contrôlent tout !Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
L’ensemble représente le hiéroglyphe du mot « scribe »Scribe, celui qui écrit ; les hiéroglyphes, "Medou Netjer" avaient une fonction magique. Les écrire ou les prononcer avait du sens ..
Hiéroglyphe du groupe Y symbolisant la palette du scribe (et par extension, celui-ci).https://www.letemps.ch/culture/premiere-phrase-entiere-decouverte-lun-plus-anciens-alphabets-connus-parle-poux
La première phrase entière découverte dans l’un des plus anciens alphabets connus parle de poux ! «Que cette défense éradique les poux des cheveux et de la barbe»: l’inscription en cananéen, qui figure sur un peigne découvert en Israël en 2016, remonte à plus de 3700 ansSechat en hiéroglyphe
Sechat ...
ânkh ...
"Vivre" …
"La vie" …
"Soyez au service de la vie" ...
Les cartouches d'amenophis IV
puis
d'Akhenaton.
https://www.aime-jeanclaude-free.com/
Voici celui qui aurait pu régner à la place d'Akhenaton ...
Thoutmôsis ...
Le fils aîné du pharaon Amenhotep III (également connu sous le nom d'Aménophis III) et de la reine Tiyi ...
Il est décédé à un jeune âge !
Thoutmôsis était destiné à succéder à son père, mais sa mort prématurée a conduit à ce que son frère cadet, Amenhotep IV (plus tard connu sous le nom d'Akhenaton), devienne le pharaon ...
Thoutmôsis a malgré tout occupé des postes importants, notamment celui de grand prêtre de Ptah à Memphis ...
Sa disparition a eu un impact significatif sur la dynastie, car elle a changé la ligne de succession et a finalement conduit aux réformes politiques radicales d'Akhenaton que nous mentionnons bien souvent tant la thématique est une Lesson de vie pour nous contemporains finalement, mon avis bien évidemment.
Pharaoh Akhenaten ...
Plâtre Amarna Royal …
Cette tête en plâtre représente un membre de la famille royale d'Amarna, probablement un roi, et sur la base de la ressemblance, il est encore plus probable qu'il s'agisse d'un moulage du roi Akhenaton.
La tête est grandeur nature et mesure 20,5 cm de long et 14,5 cm de large, avec une profondeur de 13 cm.
Si la tête est celle du roi Akhenaton, elle pourrait dater du début de son règne, car elle semble plus jeune que d'autres portraits apparemment réalistes du roi. Il convient également de mentionner la forte ressemblance avec la mère d'Akhenaton, la reine Tiyi.
Depuis Tel el-Amarna.
Musée égyptien. ÄM 21340.
https://egypt-museum.com/plaster-amarna-royal/
Akhetation, la capitale d'Akhenaton.
Sic : "Rien n'est plus étrange à contempler que cette immense étendue désertique, fermée par un cirque rocheux de 25 kilomètres de développement.
Seule l'imagination permet de reconstituer les événements qui se sont déroulés en ces lieux au temps des pharaons. C'est ici qu'Akhenaton décide d'établir sa nouvelle capitale : Akhetaton, ou l’Horizon du Disque", l'actuelle Tell el-Amarna.
De la cité royale, seules quelques fondations en brique indiquent l'emplacement passé des palais, des quartiers d'habitat et des temples, si bien que, sur le site, on traque les vestiges de cette cité bâtie à la hâte et abandonnée vingt ans plus tard, tout aussi soudainement.
Pillée et saccagée après la mort du roi et le retour au culte d'Amon, la ville ne ressemble plus qu'à ce qu'elle était avant son édification : une vaste étendue, aride et inhospitalière.
Toutefois, malgré son état de conservation déplorable, Akhetaton reste un des exemples les mieux préservés de structure urbaine du Nouvel Empire parce que, du fait de son abandon précipité, la ville a échappé aux destructions liées à une occupation continue."
Map of Amarna.
Source : http://www.narmer.pl/map/amarna_en.html
Stamped Mud Bricks from Amarna ...
Sic : "The pillared hall at the southern end of the Great Palace, also known as the Coronation Hall, contained bricks stamped with the cartouche of Ankhkheperure and a reference to the "House of Rejoicing of the Aten". The few known examples all come from the rst two or four central columns at the northern end of the Hall. Since no stamped bricks were found in any other part, this was probably a later addition to the Palace. The impressions are destroyed at the bottom, but it is doubtful whether there was room for more than one (low) sign".
© Tell El Amarna Egypt Akhetaten ... KV55
Photo de Jamie Hunter.
Portion of gilded shrine panel from KV55.
It depicts Queen Tiye sprinkling incense on offerings before the rays of the Aten.
Les talatates de Tell El-Armana ...
Les talatats sont de petits blocs de calcaire de taille standardisée (environ 27 cm x 27 cm x 54 cm) utilisés principalement pendant le règne du pharaon Akhenaton pour la construction des temples dédiés à Aten à Karnak et à Amarna (l'actuelle Tell el-Amarna).
Leur taille standardisée et leur poids léger rendaient la construction plus efficace ...
Après la période amarnienne, la construction avec des talatats a été abandonnée, car ils n'ont pas résisté au passage du temps.
Beaucoup de ces blocs ont été réutilisés par les pharaons suivants comme matériaux de remplissage pour des pylônes et des fondations de grands bâtiments ...
Photos © Aset Luxor :
Nous sommes donc à Karnak ...
Y a-t-il une explication particulière ?
Selon Andy McDonald ...
Sic : "Ce sont des trous laissés dans le plâtre moderne pour laisser entrevoir les talatats d'Ahknaton, utilisé en bourrage du 2e pylône et ce par Horemheb !"
Selon Franck Monnier ...
Sic : "Rien à ajouter.
On a pris soin à les surmonter d'une voûte en encorbellement pour qu'elles ne s'écroulent pas."
Ces mêmes talatats qui sont exposés au musée de Louxor !
Selon Andy McDonald ...
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Je n'ai trouvé aucune documentation pouvant "prouvé" la véracité des propos qui suivent !
Sic " Quand tu te rendras à Karnak la prochaine fois, regarde le montant ouest de la porte Bubastide (Coupé par le temple de RIII.).
Il est construit de talatats, dont un, à hauteur des yeux, à l'envers, qui a le nom de Moutemouia, la femme de Thutmosis IV.
Pour nous c'est la preuve que les talatats se fabriquaient bien avant Akhnaten.
Cela laisse supposer que les structures de Aknaten disparus à Karnak, ont pu commencer sous son père.
On a du mal a expliquer la rapidité de constuction dans un autre cas.
Je suis spécialiste de Thoutmosis IV.
Sa cour avant le 4e pylone (actuel) etait aussi du préfabriqué."
Les dernières années d'Amarna.
L'an 12 du règne d'Akhenaton est représenté dans les tombes de deux fonctionnaires, Huya et Meryra II, célébrant le tribut des pays étrangers avec lesquels il entretenait des relations commerciales et diplomatiques, c'est-à-dire les pays du Proche-Orient ainsi que les Libyens et les Nubiens.
C'est peut-être pour cette raison qu'une épidémie qui était active à cette époque, en l'an XIV, a entraîné la mort de Maketaten, Tiye et d'autres membres de la famille royale et d'une grande partie de la population qui ont été enterrés à la hâte dans des fosses communes dans le cimetière nord.
Après l'an Xll ...
Smenkara épousa Meritaten, fille d'Akhenaton et de Néfertiti, et devint correcteur.
Malheureusement, il est décédé moins de deux ans plus tard.
Il pourrait être un frère cadet d'Akhenaton mais pas le fils puisqu'il serait encore un enfant, et de Néfertiti et de Kiya, il n'a eu que des filles.
À ce stade ...
Néfertiti est devenue corrective et la preuve se trouve dans un relief d'Ashmunein, dans lequel elle est représentée comme un souverain en train de soumettre ses ennemis.
Cela montre sa présence en l'an 16 ...
Partie 2
Tiré du livre du directeur du Musée égyptien de Turin, Christian Greco.
Kya inside KV55 ... ?
© Tell El Amarna Egypt Akhetaten ...
Les canopes de la reine Kya.
Néfertiti ...
Voici ce que nous propose Grazia Musso ...
"Néfertiti, belle et adorée avec des doubles"
plumes, dame de joie,
au son de ta voix j'allume,
doté de grâce, remplie d'amour,
la grande mariée royale ma bien-aimée
la dame égyptienne neferneferuaton
Nefertiti, tu peux vivre éternellement"
Border Stars S ( Davies 1903-08 vol. 5, TAV. XXVI)
Source : "Texte pour Adore Aten, textes de la cour du Pharaon Akhenaton par Mario Zecchi"
Ady TamarAncient Egypt (Ancient Egyptian Arts, Culture and History).
Sic " An early Amarna period, glasslike faience inlay of pharaoh Akhenaten. It's dated to about 1353-1336 BCE.
It is believed that the Egyptians were among the first to use glass in their art and culture.
This exceptional object — together with a late Roman glass bowl — has only been recently acquired by the Corning Museum of Glass in Corning, New York (the Corningware glass people)."
Ritratto di Nefertiti da giovane,
granodiorite,
Ägyptisches Museum, Berlino.
Peut-on envisager que la réforme d'Akhenaton fut initiée par Amenhotep III et Tiyi puis appuyée ensuite par Tiyi ?
Il est tout à fait envisageable selon moi que les réformes religieuses d'Akhenaton aient été influencées par son père, Amenhotep III, et sa mère, la reine Tiyi.
Amenhotep III avait déjà commencé à promouvoir le culte du dieu solaire Aton, bien que dans un contexte plus pluraliste.
Tiyi, en tant que Grande Épouse Royale, exerçait une influence considérable à la cour et était impliquée dans les affaires religieuses et diplomatiques …
Tiyi a probablement soutenu les réformes de son fils Akhenaton, qui ont abouti à l'établissement d'un culte non monothéiste, centré sur Aton.
Cependant, l'étendue exacte de son rôle dans les réformes d'Akhenaton reste incertaine …
C’est l’une des femmes les plus importantes de l’Égypte antique.
Grande épouse royale du pharaon Akhenaton, la reine-déesse Néfertiti s’illustre au 19e siècle B.C.E.
Si l’on connaît sa grande beauté, grâce à un buste aujourd’hui exposé au Neues Museum de Berlin, en Allemagne, on sait moins de choses sur son action aux côtés du pharaon.
Nonobstant, dans une Égypte à l’apogée de sa puissance, le couple royal formé par Akhenaton et Néfertiti mène de multiples réformes culturelles et religieuses, inaugurant par exemple, une nouvelle capitale : la cité d’Amarna.
Sa nomenclature à elle seule seule déclenche en nous tout un univers lié aux splendeurs de Kemet.
A part un merveilleux buste à Berlin ...
Qui était-elle vraiment ?
Et, par association d’idées, nous nous questionnons bien souvent quant à son statut ! Le rôle des épouses des pharaons et plus globalement des femmes en cette époque lointaine.
L'expedition Unknown a pu cartographier numériquement le visage de "The Younger Lady" en 2012 grâce à l’utilisation de la technologie d’imagerie 3D.
Les restes sont censés être ceux de la reine Néfertiti d’Égypte, selon la croyance populaire.
Lorsqu’Elisabeth Daynes a reconstruit ce visage à partir d’images historiques de Néfertiti après l’avoir numérisé, il lui a fallu 500 heures pour achever son travail. Beaucoup de gens croient que Néfertiti était à blâmer pour le résultat, surtout après en avoir été témoin.
Nonobstant ...
N'oublions pas ...
La polygamie était de règle pour les souverains (Pas pour ses sujets !). En effet, il était nécessaire qu’il puisse donner naissance à un successeur afin que les rites nécessaires à la survie du pays se poursuivre indéfiniment.
Le 6 décembre 1912 …
L'archéologue Borchardt découvre le buste de Néfertiti à Amarna.
Borchardt a noté sur son journal : « Soudain, nous avions entre les mains l'oeuvre d'art égyptienne la plus vivante qui soit. C'est impossible de l'exprimer avec des mots. Il faut le voir... Il est quasiment complet, seules les oreilles ont été ébréchées, et il manque l'insert dans l'orbite gauche. ».
L’objet ne fut révélé au public qu’en 1923 et exposé en 1924 à Berlin. Il aurait été réalisé en 1345 av. JC pour servir de modèle à d’autres œuvres. Haut d’environ un demi-mètre, le buste brille de très belles couleurs. Six pigments furent utilisés : noir, blanc, vert, bleu, rouge et jaune. Il lui manque l’œil gauche qui serait tombé avec le reste des ruines de l’atelier (du quartz).
L'archéologue a réussi à l'apporter à Berlin en masquant son importance le 20 janvier 1913 au Conseil suprême des antiquités égyptiennes présidé par le Français Gaston Maspero. Borchardt a ensuite confié le buste à Henri James Simon, un des fondateurs de la Deutsche Orient-Gesellschaft. Cet objet devint même l’une des fiertés de la nation allemande.
Cependant, au-delà de la revendication de l’Égypte à rapatrier ce bijou de l’art égyptien (formulée officiellement par Zahi Hawass en 2005), une polémique est déclenchée par l’historien de l’art suisse Henri Stierlin le 12 mars 2009 bien qu’il n’eût apporté aucune preuve tangible à ses affirmations.
Dans son livre "Le buste de Néfertiti, une imposture de l’égyptologie ?", il a remis en cause l’authenticité du buste. Son côté "art nouveau" très à la mode au début du XXe siècle, le fait que les épaules fussent coupées verticalement et pas horizontalement habituellement, quelques autres indices comme l’absence de rapport de fouilles immédiat et les conditions de son acheminement vers l’Allemagne ont incité l’auteur à mener douze ans d’enquête.
Le pouvoir fut dans la majorité des cas bien masculin ...
N’oublions pas que pour les Égyptiens anciens seuls les hommes devaient donner la vie !
La femme ...
Elle ne "devait être qu’une sorte de réceptacle nécessaire", cependant elle semble n'avoir eu aucun rôle dans la création de la vie. (! ?)
Et ce qui semble parfaitement significatif fut bien cette "masculinisation" d’Hatchepsout !
Femme de pharaon ...
Mère de pharaon ...
Devenant elle même pharaon : ainsi, progressivement ses traits ainsi que sa propre silhouette passa de ceux d’une femme à ceux d’un homme. Adonc, tout le monde sait que pharaon est de sexe féminin, mais pour exercer le pouvoir, il faut qu’elle ressemble ou du moins ait les attributs d’un homme comme la fausse barbe par exemple.
Vue dramatique d'Akhenaton !
Bulletin de la Société Française d'Égyptologie.
Plongée et éclairage du visage d'un des colosses de Karnak.
Au cours du temps ...
Les Femmes et leurs titres évoluèrent.
Bien souvent, elles furent issues du même "clan" que celui du pharaon.
Et voici quelques superbes prises de vues prises par Steve Harvey :
Trois de ces élégants vases, d'un état de conservation inégal ...
... ont été enregistrés au Journal des Entrées du Musée égyptien du Caire sous la référence JE 39637,
alors que le quatrième, mieux conservé,
est revenu au découvreur, Theodore Monroe Davis. Il en a ensuite fait don au Metropolitan Museum of Art à New York qui a enregistré dans ses collections, le corps du vase : 07.226.1 et le couvercle : 30.8.54.
La manière dont la chevelure est traitée ajoute une note de charme et une originalité indéniables. "La coiffure aux boucles couvrantes, connue sous le nom de perruque nubienne, n'était portée que par les adultes et était populaire parmi les membres féminins de la famille d'Akhenaton" précise le Metropolitan Museum of Art de New York.
"Bien que destiné à un contexte funéraire, le visage sur le couvercle a été sculpté par un maître avec l'habileté et le soin que l'on pourrait attendre d'un portrait plus 'public" analyse avec sensibilité le Metropolitan Museum.
Il orne chacun des quatre vases canopes retrouvés dans la tombe KV 55 de la Vallée des Rois. Découverte en 1907, par l'égyptologue britannique Edward Russell Ayrton qui fouillait pour le compte de l'américain Theodore Monroe Davis, elle fut alors attribuée à la reine Tiyi.
Bien que saccagée, elle livrera des momies humaines et un important et intéressant matériel funéraire :
Placés sous la protection des quatre fils d'Horus :
"Les quatre canopes formaient un ensemble destiné à conserver les viscères retirés de la momie. Ce sont de grands vases, taillés dans de l'albâtre égyptien, pierre veinée utilisée dès l'Ancien Empire pour ce type de récipient".
Ainsi, nous précisent Mohamed Saleh et Hourig Sourouzian ("Catalogue officiel du Musée Égyptien du Caire") :
"Chaque organe était identifié à un dieu : le foie à Amset, les poumons à Hapi, l'estomac à Douamoutef et les intestins à Qebeshsenouf, ces attributions étant parfois interverties. Ces quatre divinités étaient elles-mêmes placées sous la protection de quatre déesses : Amset avec Isis, Hapi avec Nephtys, Douamoutef avec Neith, et Qebehsenouf avec Selkit. Pendant une longue période, les couvercles des vases furent différents : Amset étant représenté par une tête humaine, Douamoutef par une tête de chacal, Hapi par une tête de babouin, et Qebeshsenouf par une tête de faucon." Puis, à la fin de la XVIIIe dynastie, "les vases canopes des membres de la famille royale eurent des bouchons identiques qui représentent tous les quatre la tête de leur propriétaire".
Le visage des canopes de la KV 55 révèle des traits clairement représentatifs de l'époque amarnienne :
"c'est un portrait élégant, plein de grâce féminine, qui marque l'aboutissement de cet art, dépouillé maintenant des déformations caricaturales de ses premiers temps" (Mohamed Saleh et Hourig Sourouzian).
Leur attribution initiale à la reine Tiyi a ensuite été remise en cause et les questions se posent toujours quant à leur véritable "destinataire".
Ainsi, les interprétations divergent-elles, ou se croisent-elles…
"Depuis la découverte en 1907, le visage a été diversement identifié comme celui de la reine Tiyi, la mère d'Akhenaton; la reine Nefertiti, son épouse principale; la reine Kiya, son épouse secondaire bien-aimée; et la princesse Merytaton, sa fille aînée. Pendant un temps, il a même été identifié comme étant celui d'Akhenaton lui-même. Cette confusion est compréhensible, puisque l'inscription identifiant le propriétaire a été presque complètement effacée. De légères traces de hiéroglyphes indiquent que le vase était à l'origine inscrit pour Kiya, et la perruque nubienne est le plus souvent associée à cette reine. À certains égards, cependant, le visage ressemble davantage aux représentations ultérieures de Tiyi, et il est possible que le couvercle ait appartenu à l'origine à son matériel funéraire et ait ensuite été placé sur le vase canope de Kiya" analyse le Metropolitan Museum.
Pour Francesco Tiradritti ("Les merveilles du musée égyptien du Caire") :
"L'équilibre et la douceur des formes ont conduit à compter ces vases canopes de la tombe KV 55 parmi les plus beaux exemples de la portraiture royale amarnienne et à interpréter l'énigmatique visage qui apparaît sur chacun d'entre eux comme celui d'une des princesses, filles d'Aménophis IV-Akhenaton".
Pour Mohamed Saleh et Hourig Sourouzian :
"Ces vases canopes, initialement préparés pour Meritaton - mais également attribués par certains égyptologues à Kiya et même récemment à Akhenaton - semblent avoir servi pour l'enterrement du successeur d'Akhenaton, Semenkhkarê, mort prématurément"...
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